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Critique de bdelhausse


Clap de fin pour ce dixième tome. Sans vraiment que cela s'explique, osons le dire.

Depuis quelques tomes, Pécau concentre plusieurs lignes de force sur Walter Duncan, détenteur d'un savoir ancestral par son tarot et ses origines. Orphelin, on retrace sa lignée à partir de Lancelot du Lac. Rien que cela. Mais pas d'explication sur ce que cela implique réellement. Il possède une lame, qui le représente et cette lame focalise les craintes d'Adam Vinci et de Miss Mood, chargée de tuer Duncan s'il fait mine d'utiliser son valet de tarot.

Pour le reste du tome, on évolue dans deux univers. D'une part, on a l'univers du Chupacabra. Ce sont des paysages de canyons, des narcos, des migrants, des mesas... Et rien de plus. L'intrigue est épaisse comme un papier à cigarette et obscure comme la fumée d'un cigare cubain.

Et d'autre part, on retrace les premiers contacts de Walter Duncan avec le monde et Stargate. Il est apparu en 1994 et son premier geste a été de mettre le feu à une station-service.

Bref, piètre fin pour une série qui s'avérait prometteuse dans les 2 premiers tomes.
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