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Critique de collectifpolar


1996... Pour avoir démantelé Body Store, une organisation internationale de trafic d'organes, John Paul Hurtubise a subi de terribles représailles : ses enfants ont été « vidés » de tous leurs organes et ses proches, menacés de mort. 1998... Un journaliste offre son coeur - dans une glacière ! - à l'une de ses amies, un artiste fou se met à sculpter dans l'humain, un réseau d'extracteurs sillonne les rues de la ville... Body Store renaîtrait-il de ses cendres ?
L'auteur s'intéresse à la "mondialisation des mafias et de l'économie, histoire de l'art, gestion financière, zen, guerres informatiques, techniques de manipulation des individus, chamanisme, évolution des médias, progrès scientifiques, troubles de la personnalité, stratégies géopolitiques". Il nous fourgue tout ça dans un roman où en retrouve des thèmes aussi divers que la manipulation mentale, affrontement entre le bien et le mal ou encore l'ésotérisme.
Et malgré le regard cynique de l'auteur sur le monde que je partage parfois, ce roman apocalyptique ne m'a pas convaincue. Peut-être trop complexe pour moi.
Ah j'allais oublier, La chair disparue est le premier opus d'une tétralogie Les gestionnaires de l'apocalypse

Lien : https://collectifpolar.com/
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