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Critique de tchouk-tchouk-nougat


Nous sommes en 304 après JC. La famille Léo se retrouve à la rue car elle adore le nouveau dieu unique, et c'est la famille Aquila qui récupère ses biens. 24 ans plus tard les persécutions envers les chrétiens ont cessé, mais pas l'inimité entre les romains et ce qui est alors une secte adoratrice d'un dieu du désert cloué sur une croix prônant l'amour.

Ce cinquième tome se déroule donc à une période où la chrétienté va prendre un véritable essor, sous l'empereur Constantin. Dans ce contexte historique nous retrouvons nos deux familles romaines : les Léo et les Aquila, toujours victime de la malédiction du Palladium. La foi pour la dieu unique va les détourner de l'idole, mais la divinité contenu dans cette prison ne va pas se laisser oublier.
Au bout du cinquième tome, l'histoire commence à montrer de sérieuse redondance. Les familles qui se déchirent, les enfants qui se retournent contre leur parent, trahison et malédiction... Au final j'ai été plus intéressée par le contexte que par l'histoire de famille qui ne se renouvelle pas trop. Cette période où la religion bascule est plutot bien rendue même si j'aurai aimé que Constantin est une plus grande présence, qu'il soit plus acteur pour nous en apprendre plus.
Comme d'habitude un cahier historique permet au curieux de se cultiver!

Je n'ai pas été transcendée par les dessins même s'ils restent très corrects.
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