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Critique de Maplumedepaon
Tout d'abord et comme beaucoup, la couverture de ce livre a éveillée ma curiosité, car il faut bien souligner le joli travail de l'éditeur sur cette couverture steampunk.
Ensuite je lis le résumé, et je retrouve des corps de femmes, donc la possibilité d'un serial killer, une enquête menée par un flic antipathique, dans un Paris de 1909 grouillant de créatures fantastiques, bingo il ne m'en faut pas plus pour me convaincre.
Alors certes l'univers est là, un Paris début 20ème, où cohabitent humains, fées, elfes, trolls, nains, orcs ...et même des métis, car le métissage entre créatures est possible et ça c'est clairement un atout du livre, ce vivre ensemble, ce melting-pot !
Mais malheureusement la promesse n'est pas tenue, je l'ai trouvé trop peu exploité. Pour entrer complètement dans l'univers j'aurais apprécié plus de descriptions, car les seules présentes dans le roman concernent la circulation, ce qui ne contribue guère à créer une ambiance.
Ensuite parlons de ce cher détective. Alors, le résumé nous promettait un enquêteur antipathique, et Lachance l'est incontestablement mais pas de la bonne façon. Il est sexiste mysogyne, un vieux lubrique et c'est tout, ça n'apporte rien à l'histoire et ça n'a aucun intérêt. le pauvre est d'ailleurs entouré de femmes : il a des rapports ambiguës avec sa supérieur Adélaïde, et ne supporte pas la nouvelle recrue avec laquelle il doit résoudre cette enquête. Sinon, il est à noter en sa faveur qu'il n'est pas raciste, qu'il aime les chats et en possède 4 (Minou, minette, matou, mimine) et qu'il n'aspire qu'à retourner dans les Vosges goûter à une retraite qui aurait dû prendre depuis belle lurette. Je n'ai pas réussi à m'attacher à ce vieux débris lubrique, ni même aux autres personnages.
Enfin terminons sur l'intrigue, celle-ci est vraiment intéressante, ces corps de "femmes" retrouvées en compagnie d'une carte musicale d'orgue issues d'espèces différentes dans des lieux parisiens différents augurent une enquête palpitante. Mais malheureusement là encore j'ai trouvé les éléments de l'intrigue mal exploités, certains sortent d'un chapeau comme par magie, ou plutôt par chance puisque cet enquêteur s'est vu affublé de ce surnom pour cette raison, et puis la fin de l'intrigue est traitée tellement rapidement que tout nous tombe dessus sans avoir le temps de comprendre et de digérer.
Voilà c'est donc un avis mitigé pour moi, mais un roman à lire pour son univers et pour les messages intéressants qu'il véhicule, et surtout si vous aimez les enquêtes qui restent en surface et n'avez pas besoin de ressentir de l'affection ou du moins de la sympathie pour les personnages.
Ensuite je lis le résumé, et je retrouve des corps de femmes, donc la possibilité d'un serial killer, une enquête menée par un flic antipathique, dans un Paris de 1909 grouillant de créatures fantastiques, bingo il ne m'en faut pas plus pour me convaincre.
Alors certes l'univers est là, un Paris début 20ème, où cohabitent humains, fées, elfes, trolls, nains, orcs ...et même des métis, car le métissage entre créatures est possible et ça c'est clairement un atout du livre, ce vivre ensemble, ce melting-pot !
Mais malheureusement la promesse n'est pas tenue, je l'ai trouvé trop peu exploité. Pour entrer complètement dans l'univers j'aurais apprécié plus de descriptions, car les seules présentes dans le roman concernent la circulation, ce qui ne contribue guère à créer une ambiance.
Ensuite parlons de ce cher détective. Alors, le résumé nous promettait un enquêteur antipathique, et Lachance l'est incontestablement mais pas de la bonne façon. Il est sexiste mysogyne, un vieux lubrique et c'est tout, ça n'apporte rien à l'histoire et ça n'a aucun intérêt. le pauvre est d'ailleurs entouré de femmes : il a des rapports ambiguës avec sa supérieur Adélaïde, et ne supporte pas la nouvelle recrue avec laquelle il doit résoudre cette enquête. Sinon, il est à noter en sa faveur qu'il n'est pas raciste, qu'il aime les chats et en possède 4 (Minou, minette, matou, mimine) et qu'il n'aspire qu'à retourner dans les Vosges goûter à une retraite qui aurait dû prendre depuis belle lurette. Je n'ai pas réussi à m'attacher à ce vieux débris lubrique, ni même aux autres personnages.
Enfin terminons sur l'intrigue, celle-ci est vraiment intéressante, ces corps de "femmes" retrouvées en compagnie d'une carte musicale d'orgue issues d'espèces différentes dans des lieux parisiens différents augurent une enquête palpitante. Mais malheureusement là encore j'ai trouvé les éléments de l'intrigue mal exploités, certains sortent d'un chapeau comme par magie, ou plutôt par chance puisque cet enquêteur s'est vu affublé de ce surnom pour cette raison, et puis la fin de l'intrigue est traitée tellement rapidement que tout nous tombe dessus sans avoir le temps de comprendre et de digérer.
Voilà c'est donc un avis mitigé pour moi, mais un roman à lire pour son univers et pour les messages intéressants qu'il véhicule, et surtout si vous aimez les enquêtes qui restent en surface et n'avez pas besoin de ressentir de l'affection ou du moins de la sympathie pour les personnages.
