Ultime roman de Perec, dont seule la première partie fut rédigée, « 53 jours » reste comme une persistance énigme, la notation de fausses pistes, de dédoublements, de réflexions - et de pastiches - sur le roman policier. Difficile, en l'état, de juger ce qu'aurait été « 53 jours », mais sa forme inachevée plonge le lecteur dans la fabrique du roman, ses impasses et contraintes. Un roman à reconstituer comme on promènerait un miroir le long du chemin.
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