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Critique de LoupAlunettes
L'illustration de Paul Echegoyen donnera le ton et introduira l'atmosphère de cet univers imaginé par Sébastien Pérez.
Cette contrée imaginaire et tribale nous ramènera à des sources familières de références géographiques et culturelles, une vie de montagne, une vie de désert et de brousse.
Les paysages constellés de micro-gouttes colorés seront assez enchanteurs, la terre y est riche et abondante de verdure, de mousse, les arbres forts et zébrés poussent hauts.
Le lieu est prêt à accueillir les nombreux totems qui veilleront les sources d'eau.
Les habitants, presque à l'identique de petits sapajous aux yeux bleus de bédouin et couronnés de coiffes presque africaines.
Que nous réservera l'histoire?
En quelque sorte un aspect de l'ordre naturel que nous saisirons.
Imaginons un peuple de fourmis sonnant l'alerte car nous autres géants arrivont pour marcher parmi ou sur eux sans nous soucier car qu'est-ce que des fourmis pour des géants?
C'est un peu cette histoire avec ce petit peuple qui devra construire et reconstruire, se refugier sous terre, pour ne pas finir écraser par le passage des créatures échassiers.
Avec le terme " bal" associé, il y aura une part d'innocence et de beauté suggéré.
Mais qu'en est-il d'en bas?
L'intention de l'histoire sera proche du conte et les petits êtres que l'on ne nomme jamais tenteront d'interpeler ses presque géants, d'exister par un signe, une forme de " drapeau blanc" signifiant leur présence et celle de leurs maisons.
Mais comment s'assurer qu'ils comprendront?
Cela aura t-il du sens d'interpeler des géants lorsque l'on est si petit?
Cela ne compte rien d'essayer, diraient probablement les jeunes lecteurs.
C'est le propos de cette aventure subtile, délicate et pleine d'humilité, de reconnaissance.
Nous cueillerons cette reconnaissance à sens déclinable possible, dans une universalité qui permettra peut être aux jeunes lecteurs de changer leur regard sur le propre monde qui les entoure et également sur leurs propres actions.
C'est intéressant et ravissant.
Cette contrée imaginaire et tribale nous ramènera à des sources familières de références géographiques et culturelles, une vie de montagne, une vie de désert et de brousse.
Les paysages constellés de micro-gouttes colorés seront assez enchanteurs, la terre y est riche et abondante de verdure, de mousse, les arbres forts et zébrés poussent hauts.
Le lieu est prêt à accueillir les nombreux totems qui veilleront les sources d'eau.
Les habitants, presque à l'identique de petits sapajous aux yeux bleus de bédouin et couronnés de coiffes presque africaines.
Que nous réservera l'histoire?
En quelque sorte un aspect de l'ordre naturel que nous saisirons.
Imaginons un peuple de fourmis sonnant l'alerte car nous autres géants arrivont pour marcher parmi ou sur eux sans nous soucier car qu'est-ce que des fourmis pour des géants?
C'est un peu cette histoire avec ce petit peuple qui devra construire et reconstruire, se refugier sous terre, pour ne pas finir écraser par le passage des créatures échassiers.
Avec le terme " bal" associé, il y aura une part d'innocence et de beauté suggéré.
Mais qu'en est-il d'en bas?
L'intention de l'histoire sera proche du conte et les petits êtres que l'on ne nomme jamais tenteront d'interpeler ses presque géants, d'exister par un signe, une forme de " drapeau blanc" signifiant leur présence et celle de leurs maisons.
Mais comment s'assurer qu'ils comprendront?
Cela aura t-il du sens d'interpeler des géants lorsque l'on est si petit?
Cela ne compte rien d'essayer, diraient probablement les jeunes lecteurs.
C'est le propos de cette aventure subtile, délicate et pleine d'humilité, de reconnaissance.
Nous cueillerons cette reconnaissance à sens déclinable possible, dans une universalité qui permettra peut être aux jeunes lecteurs de changer leur regard sur le propre monde qui les entoure et également sur leurs propres actions.
C'est intéressant et ravissant.
