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Critique de Vexiana
Changer l'eau des fleurs...
Voilà un titre accrocheur.
La couverture est belle et cet ouvrage regorge de bonnes idées.
J'ai bien aimé les épitaphes en tête de chapitre et les dates de naissance et de décès qui parsèment la narration.
J'ai bien aimé l'histoire qui nous est racontée pour ce qu'elle est, dans toute sa tragédie et son horreur.
J'ai lu ce livre en y pensant souvent quand je ne l'avais pas entre les mains. Cette histoire m'a vraiment occupée.
Mais pourquoi seulement 3 étoiles me direz vous?
Et bien, si j'ai aimé l'histoire, je n'ai pas aimé le style.
La première partie tenait encore la route mais je pense que l'auteur qui choisit d'écrire son roman à la première personne s'expose toujours à un risque, celui de ne pouvoir relater qu'une partie de l'histoire. Quand l'auteur construit son roman en choisissant d'alterner la 1e et la 3e personne, je pense qu'il faut que cela soit cohérent. Ici, j'ai l'impression que cette prise de conscience est venue trop tard. J'ai trouvé les passages narrés par Philippe incongrus et, pour tout dire, un peu faciles alors que les extrais de journaux intimes étaient une bonne idée.
De plus, je n'ai eu que peu de sympathie pour les personnages, seuls les personnages secondaires me sont apparus comme attachants.
Je comprends que ce genre de choses ne dérange pas tout le monde mais c'est mon ressenti personnel.
Voilà un titre accrocheur.
La couverture est belle et cet ouvrage regorge de bonnes idées.
J'ai bien aimé les épitaphes en tête de chapitre et les dates de naissance et de décès qui parsèment la narration.
J'ai bien aimé l'histoire qui nous est racontée pour ce qu'elle est, dans toute sa tragédie et son horreur.
J'ai lu ce livre en y pensant souvent quand je ne l'avais pas entre les mains. Cette histoire m'a vraiment occupée.
Mais pourquoi seulement 3 étoiles me direz vous?
Et bien, si j'ai aimé l'histoire, je n'ai pas aimé le style.
La première partie tenait encore la route mais je pense que l'auteur qui choisit d'écrire son roman à la première personne s'expose toujours à un risque, celui de ne pouvoir relater qu'une partie de l'histoire. Quand l'auteur construit son roman en choisissant d'alterner la 1e et la 3e personne, je pense qu'il faut que cela soit cohérent. Ici, j'ai l'impression que cette prise de conscience est venue trop tard. J'ai trouvé les passages narrés par Philippe incongrus et, pour tout dire, un peu faciles alors que les extrais de journaux intimes étaient une bonne idée.
De plus, je n'ai eu que peu de sympathie pour les personnages, seuls les personnages secondaires me sont apparus comme attachants.
Je comprends que ce genre de choses ne dérange pas tout le monde mais c'est mon ressenti personnel.
