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Critique de Bazart
Grâce à mon blog, je n'ai, je pense, jamais autant lu d'ouvrages autour de la musique, des ouvrages souvent passionnants que certaines maisons d'édition m'envoient généreusement pour mon plus grand plaisir et pour ma plus grande culture!!!.
C'est ainsi que je peux parfaire ma connaissance sur l'histoire des artistes qui figurent dans le patrimoine du music hall de notre pays. Et comme cette année 2013 tombe avec celle du centenaire de la naissance de Charles Trenet, un certain nombre d'ouvrages nous apprend plein de choses sur lui.
C'est ainsi que grâce au dernier livre de Jacques Plessis, grand connaisseur de l'oeuvre de Charles Trénet, qu'il a longuement cotoyé dans la vie, j'ai appris quelque chose que j'ignorais totalement : le lien très fort et très intime que l'immense Charles entretenait avec un autre mythe de la chanson française, je veux parler d'Edith Piaf en personne.
En effet, dans ce livre Piaf/ Trenet, le diner extraordinaire que j'ai lu très rapidement dans un trajet de bus( qui trainait un peu il est vrai), l'auteur, biographe officiel de Trenet, invente une fiction autour d'un diner que les deux artistes auraient pu partager en 1958 dans une salle des fêtes de Narbonne, région d'où venait le Grand Charles, et où sa mère vivait.
le diner n'a pas existé en tant que tel, mais il est composé à partir d' anecdotes authentiques que Trenet a confié à l'auteur, ainsi que sur la base de souvenirs de dîners que Jacques Plessis a vécu avec Charles Trenet en personne.
Il faut dire que Trenet avait fait une confidence à Plessis :" je n'ai jamais autant ri qu'avec Édith" et que l'auteur a utilisé cette anecdote pour baser ces relations sur une complicité et des taquineries permanentes qui sont assez délectables, et qui nous montrent ces deux monstres se vouaer l'un pour l'autre une affection et une admiration réciproque et sans borne, et ces trois jours imaginés, mais en même temps proche de la réalité sont là pour nous le montrer.
Alors, parfois le procédé tourne un peu à l'artifice, et vire un peu à la pièce de théâtre un peu forcé, mais le récit de ce dîner (publié aux éditions Don Quichotte) n'en demeure pas moins instructif que plaisant.
On y évoque ainsi, entre deux bon plats, les jeunesses difficiles, les années de guerre de Charles et Edith, les animités et inimités avec les autres artistes de l'époque, de Brassens à Bécaud). Bref un livre qui nous renseigne sur la philosophie de vie de ces deux grands de la chanson française et sur la redécouverte,à travers la quantité d'anecdotes qui maillent ce livre, de personnalités marquantes du XXème siècle.
C'est ainsi que je peux parfaire ma connaissance sur l'histoire des artistes qui figurent dans le patrimoine du music hall de notre pays. Et comme cette année 2013 tombe avec celle du centenaire de la naissance de Charles Trenet, un certain nombre d'ouvrages nous apprend plein de choses sur lui.
C'est ainsi que grâce au dernier livre de Jacques Plessis, grand connaisseur de l'oeuvre de Charles Trénet, qu'il a longuement cotoyé dans la vie, j'ai appris quelque chose que j'ignorais totalement : le lien très fort et très intime que l'immense Charles entretenait avec un autre mythe de la chanson française, je veux parler d'Edith Piaf en personne.
En effet, dans ce livre Piaf/ Trenet, le diner extraordinaire que j'ai lu très rapidement dans un trajet de bus( qui trainait un peu il est vrai), l'auteur, biographe officiel de Trenet, invente une fiction autour d'un diner que les deux artistes auraient pu partager en 1958 dans une salle des fêtes de Narbonne, région d'où venait le Grand Charles, et où sa mère vivait.
le diner n'a pas existé en tant que tel, mais il est composé à partir d' anecdotes authentiques que Trenet a confié à l'auteur, ainsi que sur la base de souvenirs de dîners que Jacques Plessis a vécu avec Charles Trenet en personne.
Il faut dire que Trenet avait fait une confidence à Plessis :" je n'ai jamais autant ri qu'avec Édith" et que l'auteur a utilisé cette anecdote pour baser ces relations sur une complicité et des taquineries permanentes qui sont assez délectables, et qui nous montrent ces deux monstres se vouaer l'un pour l'autre une affection et une admiration réciproque et sans borne, et ces trois jours imaginés, mais en même temps proche de la réalité sont là pour nous le montrer.
Alors, parfois le procédé tourne un peu à l'artifice, et vire un peu à la pièce de théâtre un peu forcé, mais le récit de ce dîner (publié aux éditions Don Quichotte) n'en demeure pas moins instructif que plaisant.
On y évoque ainsi, entre deux bon plats, les jeunesses difficiles, les années de guerre de Charles et Edith, les animités et inimités avec les autres artistes de l'époque, de Brassens à Bécaud). Bref un livre qui nous renseigne sur la philosophie de vie de ces deux grands de la chanson française et sur la redécouverte,à travers la quantité d'anecdotes qui maillent ce livre, de personnalités marquantes du XXème siècle.
