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Critique de XanderOne
Voici le tome 14 de Benoit Brisefer, qui sortira le 10 avril 2015. Cette série qui fut relancé en 1993 après la mort de Peyo par son fils Thierry Culliford. En dix ans il y aura 6 nouvelles histoires de Benoit Brisefer dessinées par Pascal Garray. Puis, la série sera à nouveau entre parenthèse pendant une décennie. Autant vous dire que les sorties des albums de ce petit Benoit se font rares.
Aujourd'hui nous avons la chance d'avoir une nouvelle histoire : Benoit part en afrique, dans une aventure concocté par Garray, une nouvelle fois au dessin et Luc Parthoens au scénario, qui sont bien entendu collaborateurs au Studio Peyo, avec Thierry Culford.
Pour ce nouvel album, Luc Parthoens modernise légèrement les aventure de Benoit en situant son aventure dans une Afrique moderne sans pour autant oublier le coté fantaisie de la série. L'intrigue est donc centré sur le braconnage avec le fameux gorille blanc.
Nous avons également droit à de nombreux clins d'oeil que les bédéphiles sauront reconnaitre. Mais soyez rassurez, cela n'interfère en rien avec l'intrigue.
Contrairement aux précédents albums, il y a un peu plus d'action et de fait le format de la BD passe de 48 à 56 pages.
Une très bonne lecture, alliant la modernité mais ne reniant à aucun moment le personnage crée en 1960. Il ne reste plus qu'à espérer ne pas devoir attendre dix ans pour lire une nouvelle aventure.
Aujourd'hui nous avons la chance d'avoir une nouvelle histoire : Benoit part en afrique, dans une aventure concocté par Garray, une nouvelle fois au dessin et Luc Parthoens au scénario, qui sont bien entendu collaborateurs au Studio Peyo, avec Thierry Culford.
Pour ce nouvel album, Luc Parthoens modernise légèrement les aventure de Benoit en situant son aventure dans une Afrique moderne sans pour autant oublier le coté fantaisie de la série. L'intrigue est donc centré sur le braconnage avec le fameux gorille blanc.
Nous avons également droit à de nombreux clins d'oeil que les bédéphiles sauront reconnaitre. Mais soyez rassurez, cela n'interfère en rien avec l'intrigue.
Contrairement aux précédents albums, il y a un peu plus d'action et de fait le format de la BD passe de 48 à 56 pages.
Une très bonne lecture, alliant la modernité mais ne reniant à aucun moment le personnage crée en 1960. Il ne reste plus qu'à espérer ne pas devoir attendre dix ans pour lire une nouvelle aventure.
