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Critique de Verdorie
J'avais lu ce manga il y a une semaine, mais je ne savais pas trop quoi en penser.
Le sujet principal de l'histoire parle de la dysphorie du genre, concernant "Maria", un lycéen qui se nomme en réalité Arima. Celui-ci, élevé par sa mère comme une fille, a connu un (autre) traumatisme extrêmement violent pendant son enfance (les dessins concernant cette commotion sont explicites !). Quand Taïga voit Arima pour la première fois, il croit (comme beaucoup d'autres) que c'est une fille...
À partir de là, une difficile relation va s'instaurer entre ses deux, lien que je qualifierai comme malsain, au départ.
Je sais bien que les grands adolescents ont parfois tendance à exprimer leurs sentiments avec virulence, est-il pour autant nécessaire de le montrer avec autant de brutalité ?
"Tu veux savoir si je suis un garçon... je te le mets sous le nez"
"Tu veux savoir ce que j'ai vécu... je te le fais ressentir"
Ce sont -pour moi !- des agressions sans fondement.
Ça se termine (quand même) dans la bienheureuse romance... que je ne trouvais, au final, guère crédible à cause du revirement des attitudes comportementales des deux garçons.
Lecture mitigée, donc.
Le sujet principal de l'histoire parle de la dysphorie du genre, concernant "Maria", un lycéen qui se nomme en réalité Arima. Celui-ci, élevé par sa mère comme une fille, a connu un (autre) traumatisme extrêmement violent pendant son enfance (les dessins concernant cette commotion sont explicites !). Quand Taïga voit Arima pour la première fois, il croit (comme beaucoup d'autres) que c'est une fille...
À partir de là, une difficile relation va s'instaurer entre ses deux, lien que je qualifierai comme malsain, au départ.
Je sais bien que les grands adolescents ont parfois tendance à exprimer leurs sentiments avec virulence, est-il pour autant nécessaire de le montrer avec autant de brutalité ?
"Tu veux savoir si je suis un garçon... je te le mets sous le nez"
"Tu veux savoir ce que j'ai vécu... je te le fais ressentir"
Ce sont -pour moi !- des agressions sans fondement.
Ça se termine (quand même) dans la bienheureuse romance... que je ne trouvais, au final, guère crédible à cause du revirement des attitudes comportementales des deux garçons.
Lecture mitigée, donc.
