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Critique de kuroineko


Dans cet opus, le Grand Schtroumpf se sent pousser des ailes de Pierre de Coubertin. Il trouve ses petits Schtroumpfs un peu mous du genou - sauf le Schtroumpf costaud naturellement. Pour instaurer une saine émulation, il organise les jeux olympiques.
Mais voilà, quand on s'appelle Schtroumpf chétif, difficile de pouvoir se rêver en grand athlète...

Le scénario est tout simple, gentil et prévisible. Mais enfant, j'ai aimé cette conquête de la victoire en dépit de difficultés à surmonter. Peyo devient ici fabuliste à l'image de Lafontaine, donnant une morale dans sa conclusion.

Les dessins restent très agréables et joyeusement colorés. On adore détester le Schtroumpf à lunettes dans son rôle d'arbitre insupportable (portant moi-même des lunettes depuis toute petite, cette vision des binoclards est mi-figue mi-raisin parfois). Et heureusement, l'affreux Gargamel a d'autres chats à schtroumpfs et ne vient pas pourrir l'ambiance de ces jeux olympiques.

A faire découvrir ou redécouvrir à de nouveaux petits lecteurs.
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