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Critique de badpx
Après quelques lectures un peu fastidieuses, c'est avec un immense plaisir que je me suis plongée dans ce roman.
J'ai déjà eu des nuits assez réduites pendant quelques jours, fautes de réussir à décrocher de ma lecture à un horaire acceptable.
Il y a beaucoup de chose dans ce roman qui font qu'il m'a beaucoup plus !
Tout d'abord on n'a pas le temps de s'ennuyer, dès le premier chapitre on plonge dans le feu de l'action, d'abord à propos de feu, les deux premiers mots du roman, correspondent au bruit du tir à la carabine 22, sur la flicaille qui arrive.
J'ai peut être eu un doute quant au rythme du roman, au début du premier chapitre de témoignage de Berthe. Mais non, il fallait ça : changer de rythme pour se remettre un peu dans le contexte de ce qu'elle avait à raconter.
Et à la façon d'une série américaine, chaque fin de chapitre laisse imaginer qu'il va y avoir d'autres choses à apprendre par la suite, donc il m'était difficile d'arrêter ma lecture.
Ensuite, j'aime beaucoup cette histoire de cette femme féministe dans le savoir, et libre qui traverse le XXème siècle et ses évènements comme elle peut, tout en faisant face aux commérages de ses voisins qui ne sont pas plus tendres que L Histoire avec un H majuscule. J'ai le sentiment que sous couvert d'une histoire un peu rocambolesque, c'est aussi l'histoire de beaucoup de femmes qui est racontée ici. C'est l'histoire de la lutte quotidienne face à la misogynie ordinaire.
Il y a aussi un fond de revendication du droit à la différence, au travers de quelques personnages plus ou moins secondaires et qui ne sont pas parfaitement blanc de peau, ou pas du tout catholiques.
Au final, ce roman me fait beaucoup penser à "Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire". On lit une multitudes d'aventures un peu folle, on peut rester au premier degré de lecture et alors on passe un agréablement moment distrayant. On alors, on retient le second degré et plus, et tout ce que ces histoires peuvent vouloir dire.
Et pour cela je trouve que c'est un belle exercice de littérature : au travers de l'humour il y a tellement de messages.
J'ai déjà eu des nuits assez réduites pendant quelques jours, fautes de réussir à décrocher de ma lecture à un horaire acceptable.
Il y a beaucoup de chose dans ce roman qui font qu'il m'a beaucoup plus !
Tout d'abord on n'a pas le temps de s'ennuyer, dès le premier chapitre on plonge dans le feu de l'action, d'abord à propos de feu, les deux premiers mots du roman, correspondent au bruit du tir à la carabine 22, sur la flicaille qui arrive.
J'ai peut être eu un doute quant au rythme du roman, au début du premier chapitre de témoignage de Berthe. Mais non, il fallait ça : changer de rythme pour se remettre un peu dans le contexte de ce qu'elle avait à raconter.
Et à la façon d'une série américaine, chaque fin de chapitre laisse imaginer qu'il va y avoir d'autres choses à apprendre par la suite, donc il m'était difficile d'arrêter ma lecture.
Ensuite, j'aime beaucoup cette histoire de cette femme féministe dans le savoir, et libre qui traverse le XXème siècle et ses évènements comme elle peut, tout en faisant face aux commérages de ses voisins qui ne sont pas plus tendres que L Histoire avec un H majuscule. J'ai le sentiment que sous couvert d'une histoire un peu rocambolesque, c'est aussi l'histoire de beaucoup de femmes qui est racontée ici. C'est l'histoire de la lutte quotidienne face à la misogynie ordinaire.
Il y a aussi un fond de revendication du droit à la différence, au travers de quelques personnages plus ou moins secondaires et qui ne sont pas parfaitement blanc de peau, ou pas du tout catholiques.
Au final, ce roman me fait beaucoup penser à "Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire". On lit une multitudes d'aventures un peu folle, on peut rester au premier degré de lecture et alors on passe un agréablement moment distrayant. On alors, on retient le second degré et plus, et tout ce que ces histoires peuvent vouloir dire.
Et pour cela je trouve que c'est un belle exercice de littérature : au travers de l'humour il y a tellement de messages.
