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Critique de TristanPichard
Septième incursion dans les eaux du légendaire et du mythique pour Loïc Tréhin et moi-même. Après des ploufs dans le petit bain, celui des contes traditionnels, nous retrouvons le grand bain avec saut du plongeoir olympique directement dans l'une des principales sources de l'imaginaire occidental, la mythologie grecque.
En 150 pages, il n'était pas question d'évoquer tous les aspects du sujet, aussi avons-nous décidé de nous concentrer sur la guerre de Troie, mais d'une manière inhabituelle. Plutôt que de nous concentrer uniquement sur le siège de la ville, nous avons opté pour une découpe de l'ouvrage en trois parties, la première relatant comment la guerre est survenue, la seconde comment elle se déroula, et la troisième en narrant ce qu'il advint des principaux protagonistes après le conflit. Ainsi, il devenait possible de parler de l'Olympe, de Cassandre, de Léda, de Pénélope, de Romulus et Rémus et pas uniquement d'Achille et d'Hector.
Croyez-le où non, le souffle épique a soufflé sur les pinceaux de l'ami Loïc et sur la plume de votre serviteur. Quand on aborde de tels merveilles, nous nous sentons portés par tant de prédécesseurs que cela devient un bonheur à écrire.
Bonne lecture !
Lien : https://www.tristan-pichard...
En 150 pages, il n'était pas question d'évoquer tous les aspects du sujet, aussi avons-nous décidé de nous concentrer sur la guerre de Troie, mais d'une manière inhabituelle. Plutôt que de nous concentrer uniquement sur le siège de la ville, nous avons opté pour une découpe de l'ouvrage en trois parties, la première relatant comment la guerre est survenue, la seconde comment elle se déroula, et la troisième en narrant ce qu'il advint des principaux protagonistes après le conflit. Ainsi, il devenait possible de parler de l'Olympe, de Cassandre, de Léda, de Pénélope, de Romulus et Rémus et pas uniquement d'Achille et d'Hector.
Croyez-le où non, le souffle épique a soufflé sur les pinceaux de l'ami Loïc et sur la plume de votre serviteur. Quand on aborde de tels merveilles, nous nous sentons portés par tant de prédécesseurs que cela devient un bonheur à écrire.
Bonne lecture !
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