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Critique de Foufoubella
AVERTISSEMENT: si vous avez ce livre dans votre PAL ou que vous projetez de le lire un de ces jours, je déconseille fortement de lire ce billet, ou au sens plus général, de lire n'importe quel billet se rapportant à ce roman.
Il n'y aura aucun spoil, ou divulgâchage, mais sait-on jamais.
Ce roman se présente comme un thriller psychologique/domestique classique: un homme qui trompe sa femme, la femme qui veut devenir amie avec la maîtresse pour on ne sait quelle raison obscure, jeu du chat et de la souris, bien malin celui qui saurait dire qui manipule qui dans cette histoire.
Je l'ai donc pris en main avec cette idée de départ même si j'avais lu, ou plutôt entendu, que la fin était ultra surprenante. Et pour le coup, ça, c'est sûr, je ne l'ai pas vu venir, mais alors pas du tout. Pourtant, une fois le roman refermé, toutes les pièces s'imbriquent bel et bien les unes aux autres (bon, un poil tiré par les cheveux cette histoire, mais ça passe). Et je n'en dirai pas davantage.
Ce roman prend son temps pour développer son intrigue (il ne fait pas loin de 500 pages), peut-être parfois un peu trop son temps, ce qui fait qu'il souffre de certaines longueurs qui m'ont fortement ennuyée. J'ai été parfois à deux doigts de refermer le bouquin, trouvant que ça n'avançait pas et que, surtout, ça n'apportait rien au schmilblick.
Nous suivons nos protagonistes par un jeu narratif désormais très classique dans ce genre d'ouvrage, alternant les points de vue, particulièrement des deux femmes, mais aussi avec un jeu sur la temporalité. Rien de bien nouveau sous le soleil mais Sarah Pinborough maîtrise son sujet. Je n'ai pas spécialement réussi à m'attacher aux personnages, peut-être à l'exception de Louise qui m'a le plus touchée.
Ceux qui comme moi seraient tentés d'abandonner ce roman en cours de route, sachez que je trouve qu'il vaut quand même le coup d'aller au bout, vous ne pourrez qu'être surpris et, surtout, c'est dans les toutes dernières pages que tout vous sera révélé.
En résumé, un roman qui débute par une sombre histoire de coucherie et qui se révèle au final particulièrement étonnant dans sa chute, glaçante.
Il n'y aura aucun spoil, ou divulgâchage, mais sait-on jamais.
Ce roman se présente comme un thriller psychologique/domestique classique: un homme qui trompe sa femme, la femme qui veut devenir amie avec la maîtresse pour on ne sait quelle raison obscure, jeu du chat et de la souris, bien malin celui qui saurait dire qui manipule qui dans cette histoire.
Je l'ai donc pris en main avec cette idée de départ même si j'avais lu, ou plutôt entendu, que la fin était ultra surprenante. Et pour le coup, ça, c'est sûr, je ne l'ai pas vu venir, mais alors pas du tout. Pourtant, une fois le roman refermé, toutes les pièces s'imbriquent bel et bien les unes aux autres (bon, un poil tiré par les cheveux cette histoire, mais ça passe). Et je n'en dirai pas davantage.
Ce roman prend son temps pour développer son intrigue (il ne fait pas loin de 500 pages), peut-être parfois un peu trop son temps, ce qui fait qu'il souffre de certaines longueurs qui m'ont fortement ennuyée. J'ai été parfois à deux doigts de refermer le bouquin, trouvant que ça n'avançait pas et que, surtout, ça n'apportait rien au schmilblick.
Nous suivons nos protagonistes par un jeu narratif désormais très classique dans ce genre d'ouvrage, alternant les points de vue, particulièrement des deux femmes, mais aussi avec un jeu sur la temporalité. Rien de bien nouveau sous le soleil mais Sarah Pinborough maîtrise son sujet. Je n'ai pas spécialement réussi à m'attacher aux personnages, peut-être à l'exception de Louise qui m'a le plus touchée.
Ceux qui comme moi seraient tentés d'abandonner ce roman en cours de route, sachez que je trouve qu'il vaut quand même le coup d'aller au bout, vous ne pourrez qu'être surpris et, surtout, c'est dans les toutes dernières pages que tout vous sera révélé.
En résumé, un roman qui débute par une sombre histoire de coucherie et qui se révèle au final particulièrement étonnant dans sa chute, glaçante.
