A la lecture de ce salon de massage, j'ai vraiment eu l'impression que Mazarine avait créé Souheila, lui avait donné un âge, un copain et un métier et s'était ensuite contentée de la regarder vivre…
… et entrer dans un salon de massage et…
Une Souheila qui semble vivre comme un bateau en papier qui descend le courant, se laissant porter, coincer, chahuter par les éléments.
Une vie où même le désir, les rencontres ou les conflits ne semblent réussir à la toucher. Et pour qui ne se laisse pas toucher, quoi de mieux qu'entrer dans un salon de massage ?
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