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Critique de Axelinou
Dieu du ciel, je ne suis ni juif, ni riche, ni italien !
Sinon certaines tendances destructrices mèneraient à ma perte…
Vous ne me croyez pas ? Voici ce que l'auteur écrit en troisième page déjà : « Mieux vaut puer la merde que la pauvreté » ; ou en page 5 : « Il est à remarquer que les Sonnino privilégiaient de façon typiquement juive la dimension interrogative, opposée à l'affirmative typiquement chrétienne ».
Une formidable audace de la part de Alessandro Piperno qui signe ici son premier roman, totalement iconoclaste, provocateur et politiquement incorrect, mais qui a permis de me réconcilier avec la saga familiale, caractérisée par la grandeur et la décadence.
Devenu par la suite en quelque sorte porte-parole de la littérature italienne montante, Ale' signe ici une réussite satirique inconvenante. Néanmoins l'écriture n'est pas encore assez fluide et je vous conseille vivement la lecture de ses romans suivants dont la qualité et le côté agréable de la lecture (et donc moins pédant) vont crescendo.
Sinon certaines tendances destructrices mèneraient à ma perte…
Vous ne me croyez pas ? Voici ce que l'auteur écrit en troisième page déjà : « Mieux vaut puer la merde que la pauvreté » ; ou en page 5 : « Il est à remarquer que les Sonnino privilégiaient de façon typiquement juive la dimension interrogative, opposée à l'affirmative typiquement chrétienne ».
Une formidable audace de la part de Alessandro Piperno qui signe ici son premier roman, totalement iconoclaste, provocateur et politiquement incorrect, mais qui a permis de me réconcilier avec la saga familiale, caractérisée par la grandeur et la décadence.
Devenu par la suite en quelque sorte porte-parole de la littérature italienne montante, Ale' signe ici une réussite satirique inconvenante. Néanmoins l'écriture n'est pas encore assez fluide et je vous conseille vivement la lecture de ses romans suivants dont la qualité et le côté agréable de la lecture (et donc moins pédant) vont crescendo.
