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Critique de Calliope2017
C'est une nouvelle lecture en demi-teinte pour moi même si, dans l'ensemble, ce classique de la littérature italienne reste une bonne découverte, que je recommande.
D'un côté, j'ai beaucoup aimé l'idée du livre, son intrigue principale : un homme découvre qu'il a été reconnu dans le corps d'un homme qui s'est suicidé par noyade, et qu'il est donc officiellement considéré comme mort. le héros, Mathias Pascal, en profite donc pour refaire sa vie, lui qui n'aimait pas trop la sienne…
C'est original et très intéressant, d'autant plus que c'est émaillé de réflexions sur la thématique de l'identité et de la liberté. Par ailleurs, le style de Luigi Pirandello m'a beaucoup plu : il oscille en effet entre pensées presque philosophiques et humour, dans un ton décalé assez drôle.
Mais de l'autre côté, j'ai été déçue par toutes les intrigues autour de ce fil conducteur, abordé finalement de manière assez réduite par rapport à toutes les petites histoires, qui ressemblent davantage au contenu d'un « roman de gare », sur la famille de Mathias Pascal, son couple, la pension de famille dans laquelle il loge sous sa nouvelle identité… J'ai trouvé que le roman mettait longtemps à démarrer et, une fois l'intrigue principale lancée, que celle-ci n'était que peu développée par rapport au reste.
D'un côté, j'ai beaucoup aimé l'idée du livre, son intrigue principale : un homme découvre qu'il a été reconnu dans le corps d'un homme qui s'est suicidé par noyade, et qu'il est donc officiellement considéré comme mort. le héros, Mathias Pascal, en profite donc pour refaire sa vie, lui qui n'aimait pas trop la sienne…
C'est original et très intéressant, d'autant plus que c'est émaillé de réflexions sur la thématique de l'identité et de la liberté. Par ailleurs, le style de Luigi Pirandello m'a beaucoup plu : il oscille en effet entre pensées presque philosophiques et humour, dans un ton décalé assez drôle.
Mais de l'autre côté, j'ai été déçue par toutes les intrigues autour de ce fil conducteur, abordé finalement de manière assez réduite par rapport à toutes les petites histoires, qui ressemblent davantage au contenu d'un « roman de gare », sur la famille de Mathias Pascal, son couple, la pension de famille dans laquelle il loge sous sa nouvelle identité… J'ai trouvé que le roman mettait longtemps à démarrer et, une fois l'intrigue principale lancée, que celle-ci n'était que peu développée par rapport au reste.
