>
Critique de Etpourquoipasquatre
Imaginez le pire : des abrutis ont fait n'importe quoi avec un rituel satanique, la statue de Lemmy s'est barrée dans la forêt et le métal est mort. Plus de Sabaton, plus d'Alice Cooper, fini, et le site du Hellfest est devenu un mini golf. Oui oui un mini golf. Impensable n'est-ce pas ? C'est aussi ce qu'en pensent les responsables de ce désastre, alors ils vont se lancer dans une quête déjantée pour retrouver les grands noms du métal et faire revivre le Hellfest.
×
À quelques jours de la bataille annuelle tant attendue de la vente des pass full jours (malheureusement 4 encore l'an prochain, le banquier ne va pas s'en remettre) - puisse le sort vous être favorable - il est temps de parler de cette pépitas dénichée complètement par hasard chez ma nouvelle libraire préférée (celle que mon banquier n'aime pas donc). Cette libraire a un sens des priorités que j'aime beaucoup, on galère un peu à y obtenir un Asterix, mais on y trouve une BD Hellfest, si c'est pas un signe qu'elle est géniale ça.
Bref, j'étais obligée de me délester de 20€ et ne pas laisser passer cette trouvaille vous en conviendrez (le monde de la BD est cheros mes frères, n'y allez pas, c'est un gouffre). Je n'attendais pas une merveille de beauté ou de spiritualité bien entendu et ne fut donc pas déçue. On part sur un humour décapant à la limite de l'absurde, tout un tas de références que bien sûr le néophyte en métal n'aura pas et une auto dérision absolument géniale ! Amis du premier degré ouvrez grands vos chakras, le scénario est merveilleusement frappadingue, les jeux de mots et l'humour au centième degré au moins délicieusement loin de toute bienséance et notre équipe de bras cassés largement aussi désespérants qu'attachants.
And really ? Les Éditions Rouque-Moute ? Rien que pour ce nom déjà j'étais conquise ! Bon, le nom de Pixel Vengeur a grandement joué aussi car qui mieux que lui pouvait correspondre à un univers aussi WTF ? Il illustre à merveille cette aventure pleine de fun et de bières et c'est un bonheur de retrouver le site du festival sous ses traits.
Un petit moment de folie délirante que je conseille largement à tout fan du Hellfest, déjà rien que pour y croiser une légende du métal en Ronald McDonald parce que ça n'arrivera heureusement jamais ailleurs.
×
À quelques jours de la bataille annuelle tant attendue de la vente des pass full jours (malheureusement 4 encore l'an prochain, le banquier ne va pas s'en remettre) - puisse le sort vous être favorable - il est temps de parler de cette pépitas dénichée complètement par hasard chez ma nouvelle libraire préférée (celle que mon banquier n'aime pas donc). Cette libraire a un sens des priorités que j'aime beaucoup, on galère un peu à y obtenir un Asterix, mais on y trouve une BD Hellfest, si c'est pas un signe qu'elle est géniale ça.
Bref, j'étais obligée de me délester de 20€ et ne pas laisser passer cette trouvaille vous en conviendrez (le monde de la BD est cheros mes frères, n'y allez pas, c'est un gouffre). Je n'attendais pas une merveille de beauté ou de spiritualité bien entendu et ne fut donc pas déçue. On part sur un humour décapant à la limite de l'absurde, tout un tas de références que bien sûr le néophyte en métal n'aura pas et une auto dérision absolument géniale ! Amis du premier degré ouvrez grands vos chakras, le scénario est merveilleusement frappadingue, les jeux de mots et l'humour au centième degré au moins délicieusement loin de toute bienséance et notre équipe de bras cassés largement aussi désespérants qu'attachants.
And really ? Les Éditions Rouque-Moute ? Rien que pour ce nom déjà j'étais conquise ! Bon, le nom de Pixel Vengeur a grandement joué aussi car qui mieux que lui pouvait correspondre à un univers aussi WTF ? Il illustre à merveille cette aventure pleine de fun et de bières et c'est un bonheur de retrouver le site du festival sous ses traits.
Un petit moment de folie délirante que je conseille largement à tout fan du Hellfest, déjà rien que pour y croiser une légende du métal en Ronald McDonald parce que ça n'arrivera heureusement jamais ailleurs.
