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Critique de Stockard
Délire ! Je vois pas d'autre mot pour qualifier cet ovni bédéesque (si, en fait y'en a plein d'autres – tordant, décalé, cinoque, poilant, loufoque etc etc... – mais ça foutait ma phrase d'entrée en l'air).
Bon on s'en fout.
Donc cette BD, si on peut la qualifier ainsi, genre de montage dessins photos (on ne saurait trop dire) qui nous narre le quotidien de Blaise (un prénom pas facile pour un gamin mais quand on voit sa tronche, finalement, ça lui va bien au teint) et de ses pseudo-philosopho-intello-penseurs de parents. Entre une mère castratrice et un père toujours vigilant à ne pas commettre le moindre impair, Blaise évolue comme il peut, c'est à dire – même si ce n'est pas clairement explicite – pas très bien. On sent déjà en lui l'adulte névrosé en devenir à qui on devine des lendemains difficiles.
Tant pis pour lui parce que pour nous, pendant ce temps-là, quelle poilade (ça se dit encore ça ?!). Et il y a encore deux autres tomes derrière ? S'ils sont aussi bons que ce premier numéro, ça promet des moments désopilants (mâtin !)
Bon on s'en fout.
Donc cette BD, si on peut la qualifier ainsi, genre de montage dessins photos (on ne saurait trop dire) qui nous narre le quotidien de Blaise (un prénom pas facile pour un gamin mais quand on voit sa tronche, finalement, ça lui va bien au teint) et de ses pseudo-philosopho-intello-penseurs de parents. Entre une mère castratrice et un père toujours vigilant à ne pas commettre le moindre impair, Blaise évolue comme il peut, c'est à dire – même si ce n'est pas clairement explicite – pas très bien. On sent déjà en lui l'adulte névrosé en devenir à qui on devine des lendemains difficiles.
Tant pis pour lui parce que pour nous, pendant ce temps-là, quelle poilade (ça se dit encore ça ?!). Et il y a encore deux autres tomes derrière ? S'ils sont aussi bons que ce premier numéro, ça promet des moments désopilants (mâtin !)
