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Critique de Louise1200
Avant d'écrire cette critique, j'ai relu les courriels que j'avais envoyé quotidienenement à mes amis lors de ma première visite au Japon en janvier 2011. J'allais à Tokyo pour visiter une exposition de quilts, qui n'est évidemment pas la tasse de thé de Lonely Planet. Chaque guide est fait par une équipe nombreuse, mais plutôt portée sur le surf et autres sports de glisse que sur les loisirs créatifs (le tricot n'est pas un sport dangereux, quoi qu'à Singapour, un controleur de Delta airlines a demandé à voir les aiguilles à tricoter en bambou qui étaient dans ma valise).
J'ai vainement essayé d'après les biographies des auteurs de repérer celui qui est très porté sur les onsen (bains publics d'eau thermale souvent en plein air - on s'y assied nu.e) mixtes et le scout aux longues jambes qui propose de faire les principaux sites de Kyoto en une promenade de 5 km en trois heures (à la nuit tombante, j'avais à peine atteint le lieu prévu pour le pique-nique). J'ai passé une demi-journée au centre textile Nisjin à regarder les défilés de kimonos et admirer un vieux monsieur peindre des myosotis sur la soie d'un kimono assis sur ses genoux courbé sur une table basse minuscule. J'ai visité également un atelier de tissage d'obi (ceintures de kimono) en soie et j'ai regretté de ne pas avoir à me marier pour en acheter une (le prix d'environ 1000 € ne m'a pas paru exagéré pour un mois de travail d'un artisan renommé).
C'est vrai que le guide Lonely Planet donne beaucoup d'informations et ne trie pas ce qui est important ou pas, étant donné que chacun à des centres d'intérêt différents.
Après avoir enlevé mes chaussures à l'entrée des temples de Nikko sous la neige, je n'ai pas voulu le refaire à Kyoto. Pour moi, c'est plus important de garder des souvenirs heureux que de vouloir prétendre avoir tout vu en quelques jours au pas de course.
J'ai vainement essayé d'après les biographies des auteurs de repérer celui qui est très porté sur les onsen (bains publics d'eau thermale souvent en plein air - on s'y assied nu.e) mixtes et le scout aux longues jambes qui propose de faire les principaux sites de Kyoto en une promenade de 5 km en trois heures (à la nuit tombante, j'avais à peine atteint le lieu prévu pour le pique-nique). J'ai passé une demi-journée au centre textile Nisjin à regarder les défilés de kimonos et admirer un vieux monsieur peindre des myosotis sur la soie d'un kimono assis sur ses genoux courbé sur une table basse minuscule. J'ai visité également un atelier de tissage d'obi (ceintures de kimono) en soie et j'ai regretté de ne pas avoir à me marier pour en acheter une (le prix d'environ 1000 € ne m'a pas paru exagéré pour un mois de travail d'un artisan renommé).
C'est vrai que le guide Lonely Planet donne beaucoup d'informations et ne trie pas ce qui est important ou pas, étant donné que chacun à des centres d'intérêt différents.
Après avoir enlevé mes chaussures à l'entrée des temples de Nikko sous la neige, je n'ai pas voulu le refaire à Kyoto. Pour moi, c'est plus important de garder des souvenirs heureux que de vouloir prétendre avoir tout vu en quelques jours au pas de course.
