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Critique de BurjBabil
Les dessins font penser à des découpages au ciseau. Il y a un équilibre entre les formes et les couleurs, ces dernières étant vives et servant le propos : celui du dynamisme qui sous-tend l'engagement politique décrit par les auteures.
Un engagement sincère, politique au sens noble du terme, c'est à dire ayant pour objectif de s'occuper la vie de la cité.
Ici, cela se double de la revendication féministe de la parité dans les instances représentatives.
C'est l'expérience québécoise de Valérie Plante, mairesse du quartier Centre-Sud de Montréal situé à l'est du centre-ville et bordé par le fleuve Saint-Laurent qui est racontée.
Sincèrement, je ne sais rien de la réalité politique de cette Maire-auteure mais la Simone Simoneau de la bande dessinée se démène corps et âme pour sa campagne électorale.
Le vocabulaire est donc Québécois et c'est bigrement souriant.
Une BD simple et vivifiante que vos chums doivent lire au plus sacrant !
Un engagement sincère, politique au sens noble du terme, c'est à dire ayant pour objectif de s'occuper la vie de la cité.
Ici, cela se double de la revendication féministe de la parité dans les instances représentatives.
C'est l'expérience québécoise de Valérie Plante, mairesse du quartier Centre-Sud de Montréal situé à l'est du centre-ville et bordé par le fleuve Saint-Laurent qui est racontée.
Sincèrement, je ne sais rien de la réalité politique de cette Maire-auteure mais la Simone Simoneau de la bande dessinée se démène corps et âme pour sa campagne électorale.
Le vocabulaire est donc Québécois et c'est bigrement souriant.
Une BD simple et vivifiante que vos chums doivent lire au plus sacrant !
