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Critique de rocamadour


La peur du noir, nos survivants commencent à l'éprouver. Dans ce tome 2,chroniques 3 & 4,chacun d'eux va se frotter à d' étranges créatures dont le clic clic filent la chair de poule. Ils prennent la route...ou la poudre d'escampette... Une destination précise pour les uns, au hasard pour les autres. le journaliste new-yorkais, lui, s'obstine à attendre désespérément sa femme et son fils… On le comprend mais bon, ça fini par faire un peu « gourde » de service. Donc que dire de la chronique 3 … pas grand-chose car, en 86 pages on a peu à se mettre sous la dent. Très vite lue aussi, on passe à la chronique 4 en espérant que l'on va en avoir pour ses… 83 autres pages ! Ben …Oui…C'est vrai…ça bouge un peu plus… Charlie se fait la malle, laissant Callie à son alcoolo de beau-père – je vous laisse découvrir pourquoi – Et va se retrouver avec le sérial-killer. le journaliste tourne toujours en rond dans New-York, mais semble commencer à piger qu'il se passe quelque chose d'anormal et de terrifiant, l'agent spécial et Teagen échappe à un commando de l'armée venu le tuer. Tiens ? Comment savait-il qu'il était survivant et où il se trouvait ? Il n'avait pas autre chose à faire ? Peu crédible, voire incohérent. Quant à l'équipe de Desmond, ils vont avoir affaire avec les créatures de plus en plus méchantes…Mais là, on avance…Paola et Luca et son marchand de tacos vont se rencontrer. Pour conclure, que dire ? Que lire quatre-vingt trois pages après quatre-vingt trois pages n'est pas vraiment intéressant. Autant en faire une série télévisée tout de suite. Pour ma part, cela me donne l'impression d'entamer une « Dallas, ton univers impitoyable » qui ne finit jamais, si ce n'est de tourner en rond en yoyotant. C'est vraiment dommage car le premier tome était prometteur, même si les personnages restent attachants. Bref, somme toute, vous l'aurez compris ce système n'est pas ma tasse de thé . Rien ne vaut un vieux bon bouquin de 400 pages au moins, avec un prologue, un corps de texte charnu, et un épilogue.
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