Cette nouvelle que je viens de relire, conforte mes impressions de jeunesse concernant les contes extraordinaires de cet auteur. La « petite boutique des horreurs » ne sera jamais ma tasse de thé.
Et encore moins aujourd'hui où je sais que mes démons sont bien là où ils sont et je ne ressens nul besoin de les réveiller ou de les nourrir..
Vous l'aurez compris, ce n'est pas moi qui chaque 19 janvier, date anniversaire de ce célèbre poète, venais déposer un bouquet de roses et une bouteille de cognac sur sa tombe.
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