Du bon
Werber. Retrouvé avec plaisir car cela fait très longtemps que j'ai lu «
les fourmis».
C'est réel mais drôle, agréable à lire. le mélange histoire, science fiction, encyclopédie et personnage félin passe (très) bien.
L'angoisse créée par les rats persistants et innombrables, combinés avec les pigeons, sales et bruyants, transforme les Daesch people en êtres «humains». Bonnes piques bien envoyées pour les créations américaines de ce siècle.
Au passage, j'ai toujours détesté les pigeons. Bruyants, sales et envahissants. Ça ne s'arrangera pas.
La personnalité de Bastet est fantastique. Seul bémol: ce devrait être une chatte noire
Reste maintenant la question: quand saurons-nous la suite?
Merci mr.
Werber.
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