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Critique de marosaga
Une facette de la seconde Guerre Mondiale qui est loin d'être légère : l'Exode.
L'auteure, à travers les regards, les pensées et les propos de Gabrielle " Fil de Fer" nous projette sur les routes en pleine déroute, déroute matérielle mais surtout psychologique : la fuite au péril de sa vie, le spectacle quotidien de la mort, de la violence, de la misère humaine. L'amour - idéal, rêvé comme il peut l'être à l'adolescence- n'y est présent qu'accessoirement : Attention à la vignette de couverture: "l'amour plus fort que la guerre" : pour moi, c'est un faux argument ; le seul amour qui a cette valeur, c'est celui qui règne au sein de cette famille et particulièrement dans les attentions paternelles.
L'auteure, à travers les regards, les pensées et les propos de Gabrielle " Fil de Fer" nous projette sur les routes en pleine déroute, déroute matérielle mais surtout psychologique : la fuite au péril de sa vie, le spectacle quotidien de la mort, de la violence, de la misère humaine. L'amour - idéal, rêvé comme il peut l'être à l'adolescence- n'y est présent qu'accessoirement : Attention à la vignette de couverture: "l'amour plus fort que la guerre" : pour moi, c'est un faux argument ; le seul amour qui a cette valeur, c'est celui qui règne au sein de cette famille et particulièrement dans les attentions paternelles.
