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Critique de sylviedoc
Et revoilà Edgar, qui a trouvé l'énergie de nous livrer la suite de son journal (entre deux siestes). Et il m'a apporté un bon bol d'humour (je ne sais pas si ça se dit, mais ça me plaît !), dont j'avais bien besoin dans toute la morosité ambiante. Moi je vous le dit : quand chat va pas, va lire ce chat, chat te requinquera !
Bon, il a un peu perdu l'attrait de la nouveauté, il y a quelques répétitions par rapport au premier tome, mais l'histoire de la famille "banale et sympathique" d'Edgar se poursuit, avec de nouveaux arrivants : un jeune boutonneux, petit copain de la fille aînée, qui, horreur, va ramener son chaton à la maison. Et puis il y a la maman, Séverine, qui n'arrête pas de grossir, du coup Edgar se pose des questions sur son propre embonpoint (et découvre qu'il n'a pas de nombril !). Un jour, posé sur son ventre, il sent quelque chose bouger et pense qu'elle a avalé un poulet vivant... Pas toujours très fufute notre Edgar, même s'il a une très haute opinion de lui-même, comme tout chat qui se respecte. Mais quelques semaines plus tard, re-horreur : une chose braillarde et nauséabonde va faire son apparition dans la maisonnée ! Et la liste des mésaventures n'est pas close...
Je vous laisse découvrir le reste, sous forme de mini-chroniques quotidiennes (sauf quand il est trop fatigué), Edgar nous livre ses réflexions toujours profondes sur le genre humain et les aléas de sa vie de chat grognon mais si drôle. Avec en prime les petits dessins chat-rmants de Rita Berman qui accompagnent à merveille ce journal intime d'un chat attachiant.
Bon, il a un peu perdu l'attrait de la nouveauté, il y a quelques répétitions par rapport au premier tome, mais l'histoire de la famille "banale et sympathique" d'Edgar se poursuit, avec de nouveaux arrivants : un jeune boutonneux, petit copain de la fille aînée, qui, horreur, va ramener son chaton à la maison. Et puis il y a la maman, Séverine, qui n'arrête pas de grossir, du coup Edgar se pose des questions sur son propre embonpoint (et découvre qu'il n'a pas de nombril !). Un jour, posé sur son ventre, il sent quelque chose bouger et pense qu'elle a avalé un poulet vivant... Pas toujours très fufute notre Edgar, même s'il a une très haute opinion de lui-même, comme tout chat qui se respecte. Mais quelques semaines plus tard, re-horreur : une chose braillarde et nauséabonde va faire son apparition dans la maisonnée ! Et la liste des mésaventures n'est pas close...
Je vous laisse découvrir le reste, sous forme de mini-chroniques quotidiennes (sauf quand il est trop fatigué), Edgar nous livre ses réflexions toujours profondes sur le genre humain et les aléas de sa vie de chat grognon mais si drôle. Avec en prime les petits dessins chat-rmants de Rita Berman qui accompagnent à merveille ce journal intime d'un chat attachiant.
