Une écriture sèche, que j'ai trouvée déplaisante.
L'utilisation de mots peu usités ( gentrification, forensique, défixion etc ) dont j'ai du chercher la signification, le sens de la phrase ne la donnant pas.
Aucun des protagonistes, que ce soit Caius Julius Senovis, Karin Olafson ou autres, n'a de substance. Ce ne sont que des figures de papier.
Tout baigne dans la noirceur, la boue, les ordures.
Ce ne sont que spectacles de désolation, de destruction, de massacres.
C'est pour toutes ces raisons que je n'ai pas apprécié cette lecture malgré une érudition indiscutable...et que j'ai mis aussi longtemps à en venir à bout.
Quant au sous-titre : « péplum spaghetti », je m'interroge encore. Est-ce vraiment le terme approprié ?
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