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Critique de bdelhausse
Un huitième tome qui poursuit le grand récit entamé par Eric Powell depuis 3 tomes. The Goon et sa bande sont aux prises avec Abrasio, l'ancien boss du Goon. le malfrat a rameuté le Wicker, les strip-teaseuses burlesques, et quelques autres "méchants". Tous les coups sont permis. Heureusement que le Busard veille sur le Goon.
D'ailleurs, la moitié du tome est consacré au Busard, ce shérif maudit par le Prêcheur, et condamné à mangé de la chair morte tout en restant vivant.
Descendre dans l'intimité du Busard est intense. On découvre un être à vif, doté d'une sensibilité et d'un cynisme à toute épreuve. vu qu'il s'agit d'histoires publiées pas mal de temps auparavant, le dessin des aventures du Busard n'est pas tout à fait au niveau des aventures du Goon, mais cela reste très bon quand même. La palette d'Eric Powell est impressionnante.
D'ailleurs, la moitié du tome est consacré au Busard, ce shérif maudit par le Prêcheur, et condamné à mangé de la chair morte tout en restant vivant.
Descendre dans l'intimité du Busard est intense. On découvre un être à vif, doté d'une sensibilité et d'un cynisme à toute épreuve. vu qu'il s'agit d'histoires publiées pas mal de temps auparavant, le dessin des aventures du Busard n'est pas tout à fait au niveau des aventures du Goon, mais cela reste très bon quand même. La palette d'Eric Powell est impressionnante.
