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Critique de Lizm78
Suspense, rapidité, soufflé (oui oui, soufflé). Voici trois mots qui définissent bien ce que j'ai ressenti en lisant Aquila.
D'abord suspense : on commence le livre de suite avec un monticule d'éléments troublants et étranges que la protagoniste, Vicky, devra remettre en place à cause de son blackout. Tout tourne autour du fait que Vicky devra se souvenir tant bien que mal de tout ce qu'il s'est passé durant son blackout. C'est un roman haletant, avec peu de temps morts. Je me suis laissée portée par le roman et son suspense plutôt facilement, sans trop réfléchir à ce qui pourrait se passer plus tard.
Rapidité : alors oui tout s'enchaîne très vite. Vicky retrouve peu à peu la mémoire, parfois de façon très rapide, voire trop facile. Elle découvre des éléments par hasard et n'a parfois aucun mal à se souvenir de ce qui lui est arrivé en raison d'une sensation ou autre. Tout va très vite et on arrive à la fin un peu sur sa faim.
Soufflé : c'est le mot qui caractérise mieux mon ressenti. Aquila a été en effet comme un soufflé : c'est monté très vite, c'était prenant mais le dénouement n'était pas à la hauteur de mes attentes et mon intérêt est vite retombé. C'était plat, trop simple et encore une fois, trop facile. Trop facile parce-que Vicky se sort de situations désespérées avec beaucoup (trop) de facilité. J'aurais aimé plus de complications.
Ca reste malgré une bonne lecture et un bon roman plutôt bien ficelé et logique même s'il manque de profondeur. Petit bonus : on découvre au fil de pages la ville de Sienne, que j'ai désormais très envie de voir par moi-même !
D'abord suspense : on commence le livre de suite avec un monticule d'éléments troublants et étranges que la protagoniste, Vicky, devra remettre en place à cause de son blackout. Tout tourne autour du fait que Vicky devra se souvenir tant bien que mal de tout ce qu'il s'est passé durant son blackout. C'est un roman haletant, avec peu de temps morts. Je me suis laissée portée par le roman et son suspense plutôt facilement, sans trop réfléchir à ce qui pourrait se passer plus tard.
Rapidité : alors oui tout s'enchaîne très vite. Vicky retrouve peu à peu la mémoire, parfois de façon très rapide, voire trop facile. Elle découvre des éléments par hasard et n'a parfois aucun mal à se souvenir de ce qui lui est arrivé en raison d'une sensation ou autre. Tout va très vite et on arrive à la fin un peu sur sa faim.
Soufflé : c'est le mot qui caractérise mieux mon ressenti. Aquila a été en effet comme un soufflé : c'est monté très vite, c'était prenant mais le dénouement n'était pas à la hauteur de mes attentes et mon intérêt est vite retombé. C'était plat, trop simple et encore une fois, trop facile. Trop facile parce-que Vicky se sort de situations désespérées avec beaucoup (trop) de facilité. J'aurais aimé plus de complications.
Ca reste malgré une bonne lecture et un bon roman plutôt bien ficelé et logique même s'il manque de profondeur. Petit bonus : on découvre au fil de pages la ville de Sienne, que j'ai désormais très envie de voir par moi-même !
