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Critique de karkarot
Aie aie aie, encore une saga de Terry Pratchett que je boucle avec ce Jugement Dernier !
Après les Annales du Disque-Monde, en voici la Science. Après trois tomes consacré à différents problèmes (l'évolution dans le dernier, l'Horloge de Darwin), celui-ci s'intéresse au pourquoi du comment, comment l'homme perçoit son monde, et pourquoi certains choisissent de le voir à travers le prisme des croyances, de la religion ou des préjugés, même des scientifiques. On balaie petit à petit les différentes théories qui se sont succédé, à commencer par certaines mythologies, et les explications que donnent les psychologues aux croyances, et l'impact qu'elles ont sur l'espèce...
C'est encore une fois passionnant, Ian Syewart et Jack Cohen vulgarisent pour nous des pans entiers de domaines scientifiques, y compris de la physique ou des mathématiques de pointe ; physique quantique, topologie, théorie des cordes, physique des particules, probabilités poussées, biologie, astrophysique... Tout est lié en science, et bien souvent les chercheurs un peu trop cloisonnés mettent du temps à voir qu'à côté, on avance dans le même sens, en doublant les travaux !
Les chapitres laissés à Terry Pratchett sont encore plus courts que dans les trois tomes précédents. Dommage, car comme toujours c'est super, on retrouve nos mages qui affronte l'église des Omniens et sa branche radicale. C'est vite expédié et Vétérini n'a même pas le temps d'étaler sa cruauté et sa puissance en temps qu'arbitre de la joute verbale. L'auteur était-il déjà bien fatigué par sa terrible maladie ? Se consacrait-il au "vrais" romans du Disque-monde ?
Toujours est-il que j'ai vraiment aimé la vulgarisation proposée par les deux scientifiques (et un peu Terry ?), toujours aussi pointue et acérée envers les religieux fanatiques de tous bords et leurs collègues scientifiques un peu trop sûrs d'eux et de leurs théorie. La science est une école d'incrédulité et de remise en question permanente, à commencer par soi.
Bon, maintenant il va falloir que je me tourne vers une autre saga...
Après les Annales du Disque-Monde, en voici la Science. Après trois tomes consacré à différents problèmes (l'évolution dans le dernier, l'Horloge de Darwin), celui-ci s'intéresse au pourquoi du comment, comment l'homme perçoit son monde, et pourquoi certains choisissent de le voir à travers le prisme des croyances, de la religion ou des préjugés, même des scientifiques. On balaie petit à petit les différentes théories qui se sont succédé, à commencer par certaines mythologies, et les explications que donnent les psychologues aux croyances, et l'impact qu'elles ont sur l'espèce...
C'est encore une fois passionnant, Ian Syewart et Jack Cohen vulgarisent pour nous des pans entiers de domaines scientifiques, y compris de la physique ou des mathématiques de pointe ; physique quantique, topologie, théorie des cordes, physique des particules, probabilités poussées, biologie, astrophysique... Tout est lié en science, et bien souvent les chercheurs un peu trop cloisonnés mettent du temps à voir qu'à côté, on avance dans le même sens, en doublant les travaux !
Les chapitres laissés à Terry Pratchett sont encore plus courts que dans les trois tomes précédents. Dommage, car comme toujours c'est super, on retrouve nos mages qui affronte l'église des Omniens et sa branche radicale. C'est vite expédié et Vétérini n'a même pas le temps d'étaler sa cruauté et sa puissance en temps qu'arbitre de la joute verbale. L'auteur était-il déjà bien fatigué par sa terrible maladie ? Se consacrait-il au "vrais" romans du Disque-monde ?
Toujours est-il que j'ai vraiment aimé la vulgarisation proposée par les deux scientifiques (et un peu Terry ?), toujours aussi pointue et acérée envers les religieux fanatiques de tous bords et leurs collègues scientifiques un peu trop sûrs d'eux et de leurs théorie. La science est une école d'incrédulité et de remise en question permanente, à commencer par soi.
Bon, maintenant il va falloir que je me tourne vers une autre saga...
