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Critique de JulyF
Roman de jeunesse repris des décennies plus tard, le peuple du tapis est un Pratchett atypique : on voit très bien en quoi son monde s'inscrit dans le nôtre, contrairement aux annales du Disque-Monde. On retrouve aussi tout le sel de ses personnages, entre philosophes et sergents bien installés dans leur routine.
Le message de pacifisme et de scepticisme envers tyrannie et religion passe assez bien. A travers le récit d'un voyage vers Uzure, la capitale de l'empire dumii, on croise plusieurs peuplades pas si différentes, qui traversent des contrées aux noms familiers comme "allumette", suivent les chemins entre les poils et craignent bien souvent de descendre dans la Trame, sous laquelle il n'y a que le Plancher...
Le choix de l'univers est savoureux, parce que le lecteur passe son temps à essayer de comprendre à quoi ces nouveaux objets font référence dans la réalité.
Comme dit l'auteur dans la préface, le roman décrit "la façon dont on évite les batailles et dont on se dispense de rois", et c'est très agréable à lire.
Le message de pacifisme et de scepticisme envers tyrannie et religion passe assez bien. A travers le récit d'un voyage vers Uzure, la capitale de l'empire dumii, on croise plusieurs peuplades pas si différentes, qui traversent des contrées aux noms familiers comme "allumette", suivent les chemins entre les poils et craignent bien souvent de descendre dans la Trame, sous laquelle il n'y a que le Plancher...
Le choix de l'univers est savoureux, parce que le lecteur passe son temps à essayer de comprendre à quoi ces nouveaux objets font référence dans la réalité.
Comme dit l'auteur dans la préface, le roman décrit "la façon dont on évite les batailles et dont on se dispense de rois", et c'est très agréable à lire.
