Pas le meilleur opus de la série, selon moi, mais je suis vraisemblablement passé à coté des références à l'Australie, que je ne connais guère.
Reste l'humour incontrôlable de
Terry Pratchett qui joue là avec l'évolution darwinienne et nous offre quelques théories irrésistibles sur l'apparition de l'ornithorynque ou de la sexualité.
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