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Critique de Luria


La Mort est un travail comme les autres et parfois on s'en lasse, comme de tout. On déprime, on frise le burn-out même. Heureusement on peut prendre un apprenti pour saloper joyeusement le travail, pendant qu'on prend la clef des champs pour tenter de changer de voie et s'interroger sur le sens de la vie.

Cynique, curieux, désabusé, La Mort est peut être un des personnages récurrents le plus vivant de l'univers de Pratchett (un des, car faut pas déconner les sorcières aussi s'en posent des colles existentielles), en tout cas celui qui a le plus d'états d'âmes.


Ça sert à quoi, tout ça ?
Ça sert à quoi, tout ça ?
Ne me demandez pas de vous suivre.

N'en déplaise à Maxime le Forestier, malgré tout, la Mort on a envie de le suivre. Peut être pour rire à ses dépends, peut être pour redécouvrir nos us et coutumes sous un regard détaché et sceptique ou tout simplement pour devenir son compagnon de fortune.
N'en déplaise à Morty (et malgré toutes ses bévu-euh-ses efforts) le héros de l'histoire ce n'est pas lui
N'en déplaise à la Mort et ses vagues à l'âme, ce livre est bourré de pépites, petites phrases ou situations qui en font une lecture cocoon (ah non maintenant c'est hygge le termàlamode) et réconfortante.


[Quatrième livre des Annales du Disque-Monde]
[Troisième livre lu de l'année 2018]
[Première lecture commune de cette même année]
[Livre de l'Atalante, tout vieux, qui tel un grimoire sans âge en devient velouté et perd ses pages]
[Bon c'est fini le décompte là ?]
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