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Critique de jemelire


Je remercie Babelio et les Editions Pierre Tequi pour cette MASSE CRITIQUE LITTÉRATURES : EN ROUTE POUR DES VOYAGES LITTÉRAIRES ! J'ai reçu « le portrait de Martin Sommervieu", premier roman de Gabriel Privat.

Martin Sommervieu, un bel homme dans la quarantaine, a réussi professionnellement et financièrement dans le monde de la banque. Spécialiste de la gestion de fortunes, il prend plaisir à délivrer des conseils avisés à ses clients, mais l'évolution des pratiques professionnelles rend presque caduque la part de l'humain, et il commence à ressentir une sourde insatisfaction. Il se rapproche alors d'Alix, une femme mariée.
Héritant d'une propriété en Normandie, terre de ses ancêtres, il découvre un portrait qui l'interpelle. Non seulement l'homme lui ressemble, mais encore il porte son nom : « Martin Sommervieu, chasseur du Roi ». Intrigué, il entreprend une recherche généalogique et historique qui le conduit à l'abbaye de Saint Wandrille.
Le livre est partagé en trois parties, dont la première expose la situation de Martin Sommervieu, de nos jours. La deuxième nous plonge, nous bascule, (sans crier gare), en pleine guerre civile en 1796 dans un roman d'aventures dont l'ancêtre de Martin est le héros malheureux. Tandis que la dernière partie est consacrée au récit des luttes intérieures de Martin qui le mèneront jusqu'à la conversion finale.
Cette division en trois parties qui n'ont presque rien à voir les unes avec les autres m'a semblé assez artificielle.
Bien que j'aie trouvé originale la présentation du Martin de la deuxième partie en anti-héros, rejeté pour sa couardise avant de gagner sa rédemption et aie été intéressée par le contexte de la Chouannerie en Normandie, je ne peux pas dire que j'aie vraiment apprécié cette lecture. Ni le style, ni les dialogues, qui ne sonnent pas juste ne m'ont emportée. J'en suis désolée.




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