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Critique de okka


Un merveilleux épisode sur la condition de la femme dans ce monde chaotique dans lequel elles survivent toute.

Ici, on découvre une jeune ratte du prénom, d'Ovidie, qui après avoir donné naissance à sa portée de rats, se fait violer par le père de ses enfants. STOP ! Ça suffit cette condition : Marre d'en faire dix ou quinze tous les mois ! Pire si ses petits deviendront comme leur géniteur, c'est-à-dire violent, violeur, méchant... et qu'à leur tour ils recommencent cela et ce cercle vicieux jamais ne se finira. Il en va de sa responsabilité. Donc pour qu'ils ne commencent pas, elle préfère abréger ses futures souffrances. Impossible de perpétuer l'espèce dans ce sens négative, si elle est la seule à être quelqu'un de bien dans ce monde pourri. Ce n'est pas une vie qu'elle a envie d'avoir.

Une amie à elle lui conseil d'aller voir un sans-queue du nom d'Hams, pour qu'il l'aide à ne plus être enceinte contre son gré. Mais dans ce lieu de connaissance qu'a rassemblé Hams, Ovidie va y découvrir un nouveau destin qui changera son statut social. Grâce à la haine accumulée contre les méchants rats, cette force en elle lui servira pour les combattre et faire le bien.

Un formidable parallèle sur notre monde d'humains, dont j'ai hâte de découvrir la suite. 😊
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