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Critique de Melitaea
Ce court roman noir présenté par Bertrand Puard rend hommage au célèbre titre de Lewis Carroll . Ces deux livres ont pour point commun le thème de l'enfance.
Nous suivons une pseudo enquête menée par un policier en plein burn out venu se ressourcer sur une île au large de la Grande Bretagne. Nous nous rendons rapidement compte que les habitants de cette île sont pour le moins plutôt atypiques.
Pour faire court, il s'avère, à la fin de l'histoire, qu'une certaine "Alice", fille d'un milliardaire complètement à côté de la plaque, a levé un groupe d'enfants dans le but de prendre le contrôle de l'île et de lutter contre les adultes et le fait de devenir des adultes.
J'ai vraiment eu du mal avec le style d'écriture 'très vieille France' de l'auteur. J'aurais apprécié un style un peu plus frais et un texte un peu plus développé car le sujet évoqué est plutôt intéressant.
A noter, une illustration en couverture assez vilaine qui à mon avis, ne rend pas service à ce livre.
Nous suivons une pseudo enquête menée par un policier en plein burn out venu se ressourcer sur une île au large de la Grande Bretagne. Nous nous rendons rapidement compte que les habitants de cette île sont pour le moins plutôt atypiques.
Pour faire court, il s'avère, à la fin de l'histoire, qu'une certaine "Alice", fille d'un milliardaire complètement à côté de la plaque, a levé un groupe d'enfants dans le but de prendre le contrôle de l'île et de lutter contre les adultes et le fait de devenir des adultes.
J'ai vraiment eu du mal avec le style d'écriture 'très vieille France' de l'auteur. J'aurais apprécié un style un peu plus frais et un texte un peu plus développé car le sujet évoqué est plutôt intéressant.
A noter, une illustration en couverture assez vilaine qui à mon avis, ne rend pas service à ce livre.
