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Critique de plumesauvage
J'y ai cru, les amis. J'y ai cru.
Commençons du bon pied. La plume de l'auteur est soignée sur cette petite centaine de pages et le lecteur sera plus que ravi de retrouver le cadre du Nord qui est celui dans lequel Pullman semble le mieux s'épanouir.
Parallèlement, les aventures De Lee sont très bien, mais... Lee a toujours été un personnage très secondaire, qui disparaît très tôt dans la saga. Je ne m'étais jamais intéressée à lui ; étrangement, Iorek est bien plus intriguant mais sera absent au cours de la première moitié de ce court récit.
Je n'ai pas adhéré à beaucoup de clichés, tels que la femme jolie mais stupide, le politicien diabolique, les pauvres habitants souffrant d'injustices alors qu'ils n'ont rien demandé...
Alors alors ? Qu'est-ce que tout cela veut dire ? Pour abréger, je vais en venir à la conclusion selon laquelle Pullman n'a jamais écrit et n'écrira jamais - selon moi - une meilleure histoire que "Les royaumes du Nord". Ce premier roman relève plus de l'exception que de la règle. Force est de le contaster et force est, pour de moi, de cesser de m'intéresser à ses oeuvres.
Commençons du bon pied. La plume de l'auteur est soignée sur cette petite centaine de pages et le lecteur sera plus que ravi de retrouver le cadre du Nord qui est celui dans lequel Pullman semble le mieux s'épanouir.
Parallèlement, les aventures De Lee sont très bien, mais... Lee a toujours été un personnage très secondaire, qui disparaît très tôt dans la saga. Je ne m'étais jamais intéressée à lui ; étrangement, Iorek est bien plus intriguant mais sera absent au cours de la première moitié de ce court récit.
Je n'ai pas adhéré à beaucoup de clichés, tels que la femme jolie mais stupide, le politicien diabolique, les pauvres habitants souffrant d'injustices alors qu'ils n'ont rien demandé...
Alors alors ? Qu'est-ce que tout cela veut dire ? Pour abréger, je vais en venir à la conclusion selon laquelle Pullman n'a jamais écrit et n'écrira jamais - selon moi - une meilleure histoire que "Les royaumes du Nord". Ce premier roman relève plus de l'exception que de la règle. Force est de le contaster et force est, pour de moi, de cesser de m'intéresser à ses oeuvres.
