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Critique de LoupAlunettes
Malgré son format de Livre-CD, ne tournez pas l'album dans tous les sens, de CD il n'y aura pas.
Nous passons les pages de garde et les couleurs d'Eric Puybaret nous happent d'emblée, nous oublions cette perspective rêvée pour une autre, notre raison et notre soif de belles aventures vont être mises à contribution.
Nous connaissons déja le chemin, celui du Pays des Merveilles mais nous ne nous priverons pas d'y retourner, même grand et espérerons gagner de nouveaux billets de départ pour les nouvelles générations de lecteurs.
Joe Rhatigan et Charles Nurnberg rafraîchissent l'histoire originale de Lewis Carroll à la machette et au stylo et font l'impasse sur les raisons d'Alice à se trouver dans ce pays de fantaisie aux mille sens dessus et dessous.
Quelle beauté!
Puybaret lisse les dégradés de couleurs et les moustaches de chat railleur, nous avons de plus en plus l'impression de vivre le temps imparti du songe d'un soir.
Une aventure et hop!, on se réveille.
Mais il faudra y retourner, la Reine de coeur, le dodo, tout ça?!?
Les adaptateurs offrent des chemins de traverse car le songe est court, le rendant plus dense dans les images, plus fou.
Le non-sens est moins puissant, dilué pour que l'humour fort de café soit appréciable pour les jeunes néophytes du Pays des Merveilles.
Comme dans le livre de Lewis Carroll, le rêve vire au cauchemar, à la pantalonnade de coeur rouge mais Alice se réveille enfin. Ouf!
L'album donne vraiment envie de se refaire une lecture et de se resservir un thé façon Chapelier Fou.
L'expérience débride l'imagination, éveille la curiosité et plante la graine pour se trouver tenté à un séjour plus long.
C'est un bon album d'introduction pour les 1ers lecteurs ou en tout cas un titre adapté en lecture pour entretenir l'engouement de ceux et celles qui auraient vu la version de Disney.
Mais attendez?! Il existe déja un autre album existant illustré par Puybaret! Quelle merveille!
Nous passons les pages de garde et les couleurs d'Eric Puybaret nous happent d'emblée, nous oublions cette perspective rêvée pour une autre, notre raison et notre soif de belles aventures vont être mises à contribution.
Nous connaissons déja le chemin, celui du Pays des Merveilles mais nous ne nous priverons pas d'y retourner, même grand et espérerons gagner de nouveaux billets de départ pour les nouvelles générations de lecteurs.
Joe Rhatigan et Charles Nurnberg rafraîchissent l'histoire originale de Lewis Carroll à la machette et au stylo et font l'impasse sur les raisons d'Alice à se trouver dans ce pays de fantaisie aux mille sens dessus et dessous.
Quelle beauté!
Puybaret lisse les dégradés de couleurs et les moustaches de chat railleur, nous avons de plus en plus l'impression de vivre le temps imparti du songe d'un soir.
Une aventure et hop!, on se réveille.
Mais il faudra y retourner, la Reine de coeur, le dodo, tout ça?!?
Les adaptateurs offrent des chemins de traverse car le songe est court, le rendant plus dense dans les images, plus fou.
Le non-sens est moins puissant, dilué pour que l'humour fort de café soit appréciable pour les jeunes néophytes du Pays des Merveilles.
Comme dans le livre de Lewis Carroll, le rêve vire au cauchemar, à la pantalonnade de coeur rouge mais Alice se réveille enfin. Ouf!
L'album donne vraiment envie de se refaire une lecture et de se resservir un thé façon Chapelier Fou.
L'expérience débride l'imagination, éveille la curiosité et plante la graine pour se trouver tenté à un séjour plus long.
C'est un bon album d'introduction pour les 1ers lecteurs ou en tout cas un titre adapté en lecture pour entretenir l'engouement de ceux et celles qui auraient vu la version de Disney.
Mais attendez?! Il existe déja un autre album existant illustré par Puybaret! Quelle merveille!
