>
Critique de Brice_B
Quelle surprenante bédé que ce premier tome de Les Antres d'Éric Puybaret, intitulé L'homme sans poids, qui sortira dans quelques jours chez Delcourt !
Un jeune homme meurt dans le naufrage de son bateau et est récupéré par le passeur pour être expédié ad patres, seulement celui-ci ne pesant rien, il s'envole pour l'au-delà avant que le passeur n'ai le temps de lui tracer sa ligne PM dans une paume de main, sa ligne post-mortem.
Dans un monde onirique et totalement ubuesque où les morts célèbres se côtoient, notre jeune mort pas vraiment mort va errer dans Les Antres, coincé entre le paradis et l'enfer, jusqu'à ce qu'on décide quoi faire de lui.
Les premières pages disponibles en extrait donneront un aperçu du dessin particulièrement agréable d'Éric Puybaret, qui rappelle ces contes pour enfant mais dont le scénario et les dialogues sont furieusement perchés et ne sont pas à lire au petit dernier pour qu'il s'endorme. J'ai adoré ce monde sans dessus dessous et j'ai déjà hâte de poursuivre l'aventure avec le prochain tome !
🔗 Service de presse numérique obtenu via NetGalley.
Un jeune homme meurt dans le naufrage de son bateau et est récupéré par le passeur pour être expédié ad patres, seulement celui-ci ne pesant rien, il s'envole pour l'au-delà avant que le passeur n'ai le temps de lui tracer sa ligne PM dans une paume de main, sa ligne post-mortem.
Dans un monde onirique et totalement ubuesque où les morts célèbres se côtoient, notre jeune mort pas vraiment mort va errer dans Les Antres, coincé entre le paradis et l'enfer, jusqu'à ce qu'on décide quoi faire de lui.
Les premières pages disponibles en extrait donneront un aperçu du dessin particulièrement agréable d'Éric Puybaret, qui rappelle ces contes pour enfant mais dont le scénario et les dialogues sont furieusement perchés et ne sont pas à lire au petit dernier pour qu'il s'endorme. J'ai adoré ce monde sans dessus dessous et j'ai déjà hâte de poursuivre l'aventure avec le prochain tome !
🔗 Service de presse numérique obtenu via NetGalley.
