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Critique de Mouche307
Alice est toujours cette jeune femme intrépide qui élucide les mystères pour le plus grand plaisir de ses lectrices, génération après génération. Mais peut-être a-t-elle vieilli ? Ou bien c'est moi ?
Accompagnée de ses amies Marion et Beth et de son chevalier servant Ned Nickerson, Alice part sur les trace d'une mystérieuse cloche d'or et de pierres précieuses. Très vite, ils apprennent l'existence d'un fantôme au fond d'une grotte accessible par la mer, qui aurait le pouvoir de faire déferler une vague immense sur quiconque tenterait d'y entrer. Son arrivée ne manque pas d'être annoncée par un son de cloche retentissant...
Bien sûr, Alice essaie de percer ce mystère, d'autant plus que des escrocs semblent rôder dans les environs et pourraient s'en prendre à son père, le célèbre James Roy.
Les rebondissements s'enchaînent, Alice recoupe les indices comme personne et n'hésite pas à se mettre en danger pour défendre les pauvres victimes éperdues de reconnaissance.
Je reste cependant gênée par les méchants, forcément laids, basanés ou difformes ; peut-être vaut-il mieux se contenter de saluer les qualités de l'héroïne, toujours aimable, élégante et dégourdie. le vocabulaire choisi et les tournures de phrases peuvent eux aussi prêter à sourire. Ce fantôme est finalement plutôt celui d'une autre époque à considérer comme telle tant qu'elle fait encore rêver les jeunes lectrices et lecteurs.
Accompagnée de ses amies Marion et Beth et de son chevalier servant Ned Nickerson, Alice part sur les trace d'une mystérieuse cloche d'or et de pierres précieuses. Très vite, ils apprennent l'existence d'un fantôme au fond d'une grotte accessible par la mer, qui aurait le pouvoir de faire déferler une vague immense sur quiconque tenterait d'y entrer. Son arrivée ne manque pas d'être annoncée par un son de cloche retentissant...
Bien sûr, Alice essaie de percer ce mystère, d'autant plus que des escrocs semblent rôder dans les environs et pourraient s'en prendre à son père, le célèbre James Roy.
Les rebondissements s'enchaînent, Alice recoupe les indices comme personne et n'hésite pas à se mettre en danger pour défendre les pauvres victimes éperdues de reconnaissance.
Je reste cependant gênée par les méchants, forcément laids, basanés ou difformes ; peut-être vaut-il mieux se contenter de saluer les qualités de l'héroïne, toujours aimable, élégante et dégourdie. le vocabulaire choisi et les tournures de phrases peuvent eux aussi prêter à sourire. Ce fantôme est finalement plutôt celui d'une autre époque à considérer comme telle tant qu'elle fait encore rêver les jeunes lectrices et lecteurs.
