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Critique de Eroblin


C'est en rangeant des livres que je suis tombée sur cette aventure d'Alice, et la nostalgie de s'abattre sur moi ! Cela m'a rappelé la maison de ma grand-mère et mes premières lectures, d'ailleurs ce tome devait appartenir à ma tante car l'édition date de 1961. C'est donc une version d'origine qui présente une Alice vivant dans un monde de nantis, bien à l'abri des difficultés financières et qui peut se rendre à un bal pour se reposer d'une enquête périlleuse.
Dans cette histoire, Alice recueille un pigeon voyageur, échoué blessé dans son jardin, portant sur lui un message sibyllin qui va lancer notre détective amateur sur la piste d'escrocs retenant prisonnières de vieilles dames pour leur voler leur fortune. A bord de son « coupé grand sport » acheté par James Roy, en compagnie de son amie Jeanette, Alice parcourt les routes à la recherche d'un domaine mystérieux. Et quand elle le trouve, elle parvient à y entrer par ruse et déjoue tous les malfaiteurs qui font chanter ces pauvres femmes.
Ne voyez pas dans mon commentaire de la moquerie, au contraire, je réalise maintenant ce qui me plaisait dans les aventures d'Alice : son intelligence, son sang-froid face aux situations dangereuses (là elle se retrouve enfermée dans une vieille citerne et parvient à en sortir), ses dons en mécanique (elle conduit, sait réparer ou saboter des moteurs…) tout en restant modeste et sincère. Et ce que j'aimais c'est que les méchants étaient vraiment méchants (pas toujours intelligents par contre) et étaient punis à la fin. Alice c'était un monde facile à comprendre pour l'enfant que j'étais.

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