Vider la maison d'un être aimé, même si ce n'est pas la maison d'enfance est souvent l'occasion de surprises parfois douloureuses. Ici, il s'agit de la maison familiale que les enfants explorent: les souvenirs affleurent. Il va falloir trier, jeter puis fermer définitivement : du moins c'était ce qui était prévu.
L'autrice nous livre ses états d'âme: la coïncidence de deux déménagements la chagrine; d'une part sa maison d'enfance, d'autre part la maison qu'elle vient d'acheter.
La langue en prose ou en poésie est simple et claire.
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