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Critique de Sophie_Bazar
Capucine, 16 ans, quitte ses Cévennes, son père et sa soeur, pour s'installer à Paris chez sa mère, une célèbre chanteuse. du moins c'est ce qu'elle croit...
Imaginons une ado qui se retrouve libre comme l'air dans la capitale, en colocation avec une vague cousine. le rêve ? pas si sûr. Passé le vertige devant cette liberté inattendue, voici l'obligation de devenir autonome du jour au lendemain, sans compter la difficulté à s'habituer à la vie parisienne. Ajoutez à cela une étrange voisine de palier et son bestiaire, un auto-stoppeur flippant, un agent immobilier collant, et une série de catastrophes en cascades.
J'ai dès les premières pages beaucoup aimé l'humour et le ton de ce roman jeunesse, j'ai aussi aimé l'idée que la famille Demange soit loin, mais alors loin d'être parfaite ! Car si Capucine, la narratrice, finit par s'emberlificoter dans ses mensonges, les adultes ne sont pas en reste et l'égoïsme des parents est particulièrement redoutable.
C'est une très chouette histoire d'émancipation avec un brin de romantisme qui prend donc plutôt le parti des ados, qu'on somme parfois de grandir un peu trop vite.
Imaginons une ado qui se retrouve libre comme l'air dans la capitale, en colocation avec une vague cousine. le rêve ? pas si sûr. Passé le vertige devant cette liberté inattendue, voici l'obligation de devenir autonome du jour au lendemain, sans compter la difficulté à s'habituer à la vie parisienne. Ajoutez à cela une étrange voisine de palier et son bestiaire, un auto-stoppeur flippant, un agent immobilier collant, et une série de catastrophes en cascades.
J'ai dès les premières pages beaucoup aimé l'humour et le ton de ce roman jeunesse, j'ai aussi aimé l'idée que la famille Demange soit loin, mais alors loin d'être parfaite ! Car si Capucine, la narratrice, finit par s'emberlificoter dans ses mensonges, les adultes ne sont pas en reste et l'égoïsme des parents est particulièrement redoutable.
C'est une très chouette histoire d'émancipation avec un brin de romantisme qui prend donc plutôt le parti des ados, qu'on somme parfois de grandir un peu trop vite.
