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Critique de grumpydoll
Histoire plutôt violente et pour moi donc, un peu inquiétante, peut-être que l'écriture est un exutoire pour se débarrasser d'angoisses intérieures suite à je ne sais quels vécus.
Il me semble aussi que si Geneviève est assassinée, c'est peut-être que déjà ce qu'elle croit avoir trouvé est déjà su.
Peut-être que sa recherche est déjà utilisée... Qui sait?
C'est comme si le comportement de la femme avait été étudié, dans ce livre, mais qu'il n'en soit ressorti qu'un truc : les féminicides...
Et c'est une erreur, une grave erreur.
Tuer sa moitié, c'est se suicider soi-même... Même si on ne le comprend pas. Trahir la confiance donnée ainsi, c'est la fin de tous. Un retour à la dévastation du siècle précédent, qui ne fut qu'une étude approfondie sur le matériau humain par d'autres "humains", quitte à créer des déchets de l'humanité (il semble ne pas y avoir eu de limites, et pourtant il fait plus sombre avant le lever du jour donc ce devrait sans doute s'arrêter).
A partir de là, on ne peut juger personne, tout le monde peut se retrouver utilisé un jour ou l'autre, avec son comportement probable prévu d'avance. Car étudié... A quel prix? jusqu'à quelles limites? pour son bien ou pour le profit d'autres? Pour s'éviter de tels esclavages, il n'y a qu'une solution : l'entraide, d'une façon ou d'une autre.
Parfois c'est trop tard, et alors là il y a ceux qui pleurent, comme le géant de la ligne verte, qui en plus fut accusé... (ça commence également par un féminicide, celui de deux fillettes, et apparemment ce géant avait certaines connaissances, celles qui lui avaient fait voir que c'est ce qui allait arriver... comme quoi il n'y a jamais de crime parfait).
Il me semble aussi que si Geneviève est assassinée, c'est peut-être que déjà ce qu'elle croit avoir trouvé est déjà su.
Peut-être que sa recherche est déjà utilisée... Qui sait?
C'est comme si le comportement de la femme avait été étudié, dans ce livre, mais qu'il n'en soit ressorti qu'un truc : les féminicides...
Et c'est une erreur, une grave erreur.
Tuer sa moitié, c'est se suicider soi-même... Même si on ne le comprend pas. Trahir la confiance donnée ainsi, c'est la fin de tous. Un retour à la dévastation du siècle précédent, qui ne fut qu'une étude approfondie sur le matériau humain par d'autres "humains", quitte à créer des déchets de l'humanité (il semble ne pas y avoir eu de limites, et pourtant il fait plus sombre avant le lever du jour donc ce devrait sans doute s'arrêter).
A partir de là, on ne peut juger personne, tout le monde peut se retrouver utilisé un jour ou l'autre, avec son comportement probable prévu d'avance. Car étudié... A quel prix? jusqu'à quelles limites? pour son bien ou pour le profit d'autres? Pour s'éviter de tels esclavages, il n'y a qu'une solution : l'entraide, d'une façon ou d'une autre.
Parfois c'est trop tard, et alors là il y a ceux qui pleurent, comme le géant de la ligne verte, qui en plus fut accusé... (ça commence également par un féminicide, celui de deux fillettes, et apparemment ce géant avait certaines connaissances, celles qui lui avaient fait voir que c'est ce qui allait arriver... comme quoi il n'y a jamais de crime parfait).
