J'ai eu le sentiment que ce patchwork de scénarios décousus se souciait plus d'appâter un producteur plutôt que du désarroi des lecteurs.
Quelle utilité des rédactions quasi identiques d'Alice dont on comprend à la version 'd' de la 264ème qu'Alice est bipolaire et qu'elle a peut-être simplement fantasmé son viol?
L'écriture est bien lourde, comme les fêtes d'étudiants, la vie pitoyable de Nick qui a sombré dans l'alcool, les allusions aux films d'horreur.
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