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Critique de Illiberia
Je remercie tout d'abord Babelio et Sorbonne Université Presses.
Ce n'est pas le genre d'oeuvre que j'ai l'habitude de lire et ce fut pour moi une découverte. J'ai d'abord été déroutée par l'introduction, qui était pourtant nécessaire pour comprendre la suite du document, car je l'ai trouvée trop technique et théorique.
J'ai eu un peu de mal avec le vocabulaire également, de nombreux mots m'étaient inconnus mais le sens général restait compréhensible malgré tout.
Le sujet en lui-même m'a intéressée puisqu'il aborde le thème du genre, du féminin et du féminisme, même si la forme du manifeste m'était assez étrangère.
Le livre revient sur l'évolution historique et sociale des manifestes, notamment rédigés par des femmes au long des siècles passés, et rappelle qu'ils n'étaient alors pas forcément féministes pour autant. Quant à ceux produits à l'initiative d'auteurs masculins, ils révèlent, si c'était encore nécessaire, à quel point notre société était patriarcale et misogyne, le domaine de l'art n'étant nullement épargné non plus.
J'ai notamment apprécié les passages relatifs à des oeuvres plus contemporaines comme celui analysant King Kong Théorie et la dernière partie, évoquant le journal intime tenu par une personne en cours de transition sexuelle, m'a touchée, en nous faisant partager sa détermination, son courage mais aussi sa naïveté passée sur les clichés de genre.
Ce document est intéressant mais il n'est pas destiné, selon moi, à un large public, le thème abordé et sa rédaction le rendant plutôt élitiste.
Ce n'est pas le genre d'oeuvre que j'ai l'habitude de lire et ce fut pour moi une découverte. J'ai d'abord été déroutée par l'introduction, qui était pourtant nécessaire pour comprendre la suite du document, car je l'ai trouvée trop technique et théorique.
J'ai eu un peu de mal avec le vocabulaire également, de nombreux mots m'étaient inconnus mais le sens général restait compréhensible malgré tout.
Le sujet en lui-même m'a intéressée puisqu'il aborde le thème du genre, du féminin et du féminisme, même si la forme du manifeste m'était assez étrangère.
Le livre revient sur l'évolution historique et sociale des manifestes, notamment rédigés par des femmes au long des siècles passés, et rappelle qu'ils n'étaient alors pas forcément féministes pour autant. Quant à ceux produits à l'initiative d'auteurs masculins, ils révèlent, si c'était encore nécessaire, à quel point notre société était patriarcale et misogyne, le domaine de l'art n'étant nullement épargné non plus.
J'ai notamment apprécié les passages relatifs à des oeuvres plus contemporaines comme celui analysant King Kong Théorie et la dernière partie, évoquant le journal intime tenu par une personne en cours de transition sexuelle, m'a touchée, en nous faisant partager sa détermination, son courage mais aussi sa naïveté passée sur les clichés de genre.
Ce document est intéressant mais il n'est pas destiné, selon moi, à un large public, le thème abordé et sa rédaction le rendant plutôt élitiste.
