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Critique de Ecureuil73
Les horreurs du quotidien dont l'on se cache le plus souvent, nous revienne en pleine figure notamment sur les réseaux sociaux. Les vices et sévices cachent souvent de profonds malaises ancrés en l'être humain.
La société se veut cruelle et malaisante et souvent la cruauté du monde se dessine dans ce qu'il y a de pire.
D'un côté, un kidnapping cruel, faisant de la femme une esclave sexuelle, de l'autre un groupe voulant rétablir un certain respect, de l'ordre et une équité des forces vont se croiser au prix de grandes souffrances psychologiques et humaines.
Les personnages sont empathiques et creusés, leur quotidien est hors-norme, hors-cadre et malgré cela on tourne les pages à une vitesse folle dans l'espoir que l'issue sera heureuse... peine perdue et vaine !
Comme un bon page-turner, il nous tient en haleine et même quand le récit se veut plus "poussif", le rebond n'est jamais loin.
A la façon d'un récit cinématographique, on se déroule le film qui démontre, le vice et les dérives du net mais aussi une façon de remettre les choses à leur place à qui sait regarder et décrypter.
Le titre et la couverture sont particulièrement bien choisies car nous sommes tous des esclaves enfermés dans un monde de virtualité néfaste sans être à l'abri des vicissitudes de ce monde pervertis.
La société se veut cruelle et malaisante et souvent la cruauté du monde se dessine dans ce qu'il y a de pire.
D'un côté, un kidnapping cruel, faisant de la femme une esclave sexuelle, de l'autre un groupe voulant rétablir un certain respect, de l'ordre et une équité des forces vont se croiser au prix de grandes souffrances psychologiques et humaines.
Les personnages sont empathiques et creusés, leur quotidien est hors-norme, hors-cadre et malgré cela on tourne les pages à une vitesse folle dans l'espoir que l'issue sera heureuse... peine perdue et vaine !
Comme un bon page-turner, il nous tient en haleine et même quand le récit se veut plus "poussif", le rebond n'est jamais loin.
A la façon d'un récit cinématographique, on se déroule le film qui démontre, le vice et les dérives du net mais aussi une façon de remettre les choses à leur place à qui sait regarder et décrypter.
Le titre et la couverture sont particulièrement bien choisies car nous sommes tous des esclaves enfermés dans un monde de virtualité néfaste sans être à l'abri des vicissitudes de ce monde pervertis.
