Merci Babelio de m'avoir fait découvrir
Ruth Rendell que je ne connaissais pas. J'ai mis du temps à rentrer dans ce policier psychologique.
Ruth, nous plonge dans les méandres de la pensée de ce sociopathe, homme terrifiant et surtout inconscient de ses actes.
Même après sa sortie de prison il est comme possédé, obsédé , l'obsession de violer le ronge et il ne pense qu'à se rapprocher du jeune David et de Clare.
Pour une conclusion que je dirais mitigée, ai-je aimé?
Ruth Rendell parvient avec virtuosité à nous faire entrer dans la tête de ce détestable personnage et qui en plus a la phobie des tortues ( elle aurait dû lui en faire un plat bien mijoté).
La phobie de Victor pour les tortues
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