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Critique de Lucas2
Un peu trop facile, ce coupable idéal.
Mais quelles opérations secrètes se cachent derrière les activités de la U-tech et de la Wingard, en rapport avec l'association WW2A ?
Sous couvert d'action humanitaire anti-sida, celle-ci organise des tests secrets, effectués sur des millions d'humains à travers le monde…
… Et en tant que fils du président des USA, Noah a accès aux informations ultra-confidentielles liées à ce programme.
Via la NSA, toute sa famille est protégée, en cas de pépins avec leurs « âmes soeurs ». D'abord étudiant lambda, il décide de s'impliquer pleinement dans ce programme.
Et va donner ses directives musclées, sujettes à controverse, dès qu'un danger potentiel se présente…
Dites donc, quelle promotion ! Etudes même pas terminées, et j'explique déjà leur boulot à tous les grands chefs militaires des States. C'est vrai que le responsable de la NSA a pas vraiment l'air d'un cador.
Bon, avant Trump, j'aurai dit « c'est n'importe quoi, çà », un gamin de la famille du chef qui prend les rênes des services de sécurité en 2 secondes…
Depuis… eh ben on se dit que c'est possible… mais plus qu'improbable.
Une succession de mauvaises décisions donc, bien utiles au moment d'expliquer le pourquoi du comment du déraillage de cette belle mécanique, qui assure le pouvoir à qui la maîtrise.
Malgré la bonne tenue d'ensemble, çà reste quand même le moins bon opus de la série. Pas fondamentalement mauvais, mais qui déçoit un peu.
Mais quelles opérations secrètes se cachent derrière les activités de la U-tech et de la Wingard, en rapport avec l'association WW2A ?
Sous couvert d'action humanitaire anti-sida, celle-ci organise des tests secrets, effectués sur des millions d'humains à travers le monde…
… Et en tant que fils du président des USA, Noah a accès aux informations ultra-confidentielles liées à ce programme.
Via la NSA, toute sa famille est protégée, en cas de pépins avec leurs « âmes soeurs ». D'abord étudiant lambda, il décide de s'impliquer pleinement dans ce programme.
Et va donner ses directives musclées, sujettes à controverse, dès qu'un danger potentiel se présente…
Dites donc, quelle promotion ! Etudes même pas terminées, et j'explique déjà leur boulot à tous les grands chefs militaires des States. C'est vrai que le responsable de la NSA a pas vraiment l'air d'un cador.
Bon, avant Trump, j'aurai dit « c'est n'importe quoi, çà », un gamin de la famille du chef qui prend les rênes des services de sécurité en 2 secondes…
Depuis… eh ben on se dit que c'est possible… mais plus qu'improbable.
Une succession de mauvaises décisions donc, bien utiles au moment d'expliquer le pourquoi du comment du déraillage de cette belle mécanique, qui assure le pouvoir à qui la maîtrise.
Malgré la bonne tenue d'ensemble, çà reste quand même le moins bon opus de la série. Pas fondamentalement mauvais, mais qui déçoit un peu.
