Quatrième et dernier roman de la série,
le Gouffre de l'absolution possède les mêmes qualités que les trois précédents : univers complexe, richesse d'imagination, crédibilité du monde décrit. Pourtant, je suis restée un peu sur ma faim. Si les différentes intrigues finissent bien par se rejoindre dans ce volume, beaucoup de questions restent en suspend : qui est la "demoiselle" qu'on imaginait tirer les ficelles ? Que deviennent les conjoineurs ? etc... L'apparition d'Aura, sauveuse de l'humanité, ressemble parfois à celle d'un deus ex machina. Je n'ai pas très bien compris d'où elle tirait ses pouvoirs, ni pourquoi tout le monde semble croire en elle. Mais je chicane un peu : cette série reste pour moi une très grande réussite du space opera.
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